Tous les articles correspondant à #Culture marocaine

Le quotidien français «Le Figaro» a vanté, mardi, «la grande qualité» des musées au Maroc, reflétant la diversité et la richesse culturelle du Royaume.

Le festival Folklorissimo, qui célèbre cette année les liens culturels entre le Maroc et la Belgique, se déroulera les 21 et 22 septembre à Bruxelles. À cette occasion, la célèbre statue bruxelloise s’habillera de costumes traditionnels marocains.

Érudit hors pair et fin lettré, le savant marocain Driss Azzouzi a rendu l’âme lundi 26 août 2024. Figure incontournable de la pensée malékite, de l’exégèse du Coran, de la science des a-hâdîth, des sciences de la langue, du soufisme et d’Histoire, le défunt a officié dans des institutions phares telles que l’Université Al Quaraouiyine de Fès, Dar El Hadith El Hassania à Rabat ou encore à la Faculté de la Charia de Fès. Il laisse derrière lui un patrimoine des plus riches en savoir et connaissances et une grande influence auprès de tous ceux qui l’ont côtoyé, de près ou de loin, au Maroc comme ailleurs. Parmi eux, les Professeurs Mohammed Farissi et Abdelhak Azzouzi. Ils témoignent.

Réalisée par la romancière et essayiste Mouna Hachim, «Marocains dans l’histoire» est votre série sur Le360, qui documente les figures marocaines ayant marqué l’humanité à travers les siècles. Pour cet épisode, place à Youssef al-Fandaloui, un adepte du droit malikite, auteur d’un livre de référence en la matière, khatib dans la ville syrienne de Banias dans la plateau du Golan, puis professeur à Damas, avant de s’engager non seulement pour la prédication mais de manière effective, par la force des armes, dans la 2ème Croisade.

Dans le cadre du réaménagement et du développement de la vaste vallée de Bouregreg, entre Rabat et Salé, le complexe de poterie Oulja de Salé, vient d’être rasé pour laisser la place à la construction d’un nouveau centre des potiers, appelé à être plus moderne et plus adapté à l’environnement, a appris jeudi Le360 auprès des autorités locales.

Réalisée par la romancière et essayiste Mouna Hachim, «Marocains dans l’Histoire» est votre série sur Le360, qui documente les figures marocaines ayant marqué l’humanité à travers les siècles. Pour cet épisode, place à Zahra bent Mansour, surnommée Zhor, qui fait partie de ces rares femmes qui ont pris la direction effective des affaires politiques et pas seulement derrière les coulisses. Elle a ainsi gouverné la ville de Fès pendant une année, en 1470, lors d’une période instable marquée par toutes formes d’agitations et de troubles.

Sous le soleil éclatant de Kénitra, une énergie vibrante anime le Centre socio-culturel où résonnent les rires et les pas assurés des enfants. Ici, se déroule le 25ème séjour culturel orchestré par la Fondation Hassan II pour les Marocains résidant à l’étranger (MRE), un événement symbolique dédié à l’épanouissement culturel des enfants venus des quatre coins du globe. L’objectif est clair: renouer le temps d’un été au moins, avec les liens profonds qui unissent ces jeunes, souvent éloignés géographiquement, à leurs racines marocaines.

Boujloud, c’est tout un pan de l’histoire du Maroc et donc, de notre identité. Vouloir éradiquer ce type de rituels, c’est effacer une partie de notre ADN et de notre mémoire. À quoi bon? Car depuis quand le fait de renier une part de soi a-t-il jamais aidé à se construire sur de solides bases?

L’écrivain Abdelfattah Kilito s’est vu décerner le Grand Prix de la Francophonie de l’Académie française pour l’année 2024, a annoncé l’institution dans un communiqué.