Le nombre de personnes condamnées à des peines de prison ferme, ayant bénéficié d’une libération conditionnelle, est d’au plus 408 personnes, soit 5% des 6.972 dossiers soumis par la Délégation générale à l’Administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) à la Direction des affaires pénales et des Grâces. Un taux qu’El Hassan Daki, le président du ministère public, juge faible, ce qui l’a incité à appeler les services concernés à faire preuve de plus d’ingéniosité pour mettre en œuvre ce mécanisme, qui permet aux condamnés de recouvrer leur liberté et de s’intégrer dignement dans la société. Une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.