Les manifestations pacifiques du mouvement GenZ212, portées par des revendications en faveur de l’éducation et de la santé, relèvent d’une démarche «légitime». En revanche, les débordements violents commis par des adolescents ciblant les biens publics et privés ne peuvent être tolérés, estime le politologue Mohamed Bouden, qui appelle à un dialogue responsable entre contestataires et institutions.