Tous les articles correspondant à #Kebir Mustapha Ammi

Les aphorismes de Mustapha Kebir Ammi. La part silencieuse
Les aphorismes de Mustapha Kebir Ammi (1/27). À travers une série d’aphorismes qu’il publie en exclusivité dans Le360, l’écrivain, romancier et essayiste Mustapha Kebir Ammi nous invite à l’intimité de sa vision sur le monde et ses convictions sur l’Homme. Il donne en partage un regard tendre et lucide sur l’humanité, les sentiments, l’esthétique, l’avenir… À lire sans modération.
De l’art de créer du bonheur
Une fois n’est pas coutume, ce n’est pas à une belle découverte littéraire ou une lumineuse idée que l’écrivain, dramaturge, poète et essayiste franco-marocain Kebir Mustapha Ammi nous convie. Cette fois, il nous entraîne dans un restaurant, là où «la gastronomie est l’art d’utiliser la nourriture pour créer le bonheur». Nous sommes dans un temple du cœur, un lieu où l’on célèbre l’art culinaire mais aussi, et surtout, la solidarité et l’amitié vraie. Voici la carte.
Des hommes et des femmes blessés qui nous ressemblent
Écrivain, dramaturge, poète et essayiste franco-marocain, Kebir Mustapha Ammi nous plonge dans le jeu cérébral de Noureddine Bousfiha, auteur de «Splendeur et disgrâce de Aabir alias Hans», un roman qui vient de paraître aux éditions Afrique-Orient. Noureddine Bousfiha y dissèque, sur plusieurs décennies, la vie d’un homme, parti de rien et de Marrakech. À sa lecture, Kebir Mustapha Ammi aboutit à cette conclusion: rien ne nous oppose vraiment. D’où que nous soyons, «nos blessures, nos peurs et nos sentiments sont identiques».
Une plongée dans les strates fécondes
Romancier, dramaturge, poète et essayiste franco-marocain, Kebir Mustapha Ammi nous livre dans cette tribune exclusive une douce critique de «Regard sur les artistes modernes et contemporains arabes» de l’historien de l’art Brahim Alaoui. Un livre «conçu comme une traversée dans le temps» et «un hommage à cinquante artistes, qui ont tracé une route, en s’efforçant de la baliser pour nous, d’un bout à l’autre d’un continent blessé», écrit-il.
Je reviens de Bamako
De retour d’une visite à Bamako, au Mali, l’écrivain Kebir Mustapha Ammi a écrit un texte exalté qui salue la pugnacité d’un peuple magnifique et l’énergie d’un ville qui accueille à bras ouverts les Marocains.
Tribune. Je vous parle d’une juste mer du milieu
Ecrivain, romancier et essayiste d’une rare sensibilité et à l’œuvre aussi dense que percutante, Mustapha Kebir Ammi nous offre dans cette tribune, trahissant une véritable poésie lyrique, la quintessence de ce qui anime quasiment tous ses écrits: la souffrance de l’exclusion, les identités mais aussi la trame d’un humanisme à toute épreuve pour une humanité sans entraves. Homme aux multiples appartenances culturelles, il nous raconte «sa» Méditerranée, celle où tous les hommes étaient égaux, «issus de la même blessure et de la même espérance». Mais aussi celle où «des enfants venus de toutes les blessures ont été arrêtés dans leur irréfragable élan». Et enfin, espérons, d’«une mer qui a hâte de renaître pour se réinventer».
«À la recherche de Glitter Faraday», de Kebir Mustapha Ammi: sur les traces des Blacks Panthers et des idéalistes, d’Alger la blanche à l’Amérique
Dans son nouveau roman, paru aux Editions Project’îles, en avril 2023, Kebir Mustapha Ammi nous transporte d’un continent à un autre, dans une quête identitaire quasi initiatique qui prend pour point de départ Alger, «où tout commence et tout s’achève», et qui a pour destination les États-Unis. Deux pays symboles d’espoirs où se brisent avec fracas les rêves des idéalistes sur l’écueil des inégalités et des injustices.
Ecrire est une pointe de feu: quand des chercheurs de renom racontent le grand Kebir Mustapha Ammi
Paru aux éditions Sotumedias sous la direction de Sanae Ghouati et Bouazza Benachir, «Ecrire est une pointe de feu: Kebir Mustapha Ammi» est un ouvrage collectif où des auteurs de renom joignent leurs plumes pour éclairer l’univers aux multiples facettes d’un écrivain singulier.
L’extraordinaire voyage de ma tante et le valeureux Boudenia
De père algérien et de mère marocaine, le grand écrivain Kebir Mustapha Ammi nous relate dans ce récit, en exclusivité pour Le360, la fabuleuse tentative de sa tante de passer la frontière entre le Maroc et l’Algérie, devenue «pire que le 38 parallèle qui sépare les deux Corées». Résidente à Taza, notre héroïne, qui se moque des interdits et de son âge avancé, emprunte les chemins d’hier, et ceux de la clandestinité, pour regagner Oran. Qui de mieux pour l’aider dans son entreprise que Boudenia, celui qui faisait la navette entre les deux pays «siamois», transportant armes et munitions sous l’Occupation, hommes et marchandises à l’indépendance. Un autre temps. Aujourd’hui, le voyage, c’est pour revoir ses cousins, mais aussi briser un sort. Parce que «personne ne devrait pouvoir fermer une frontière» et qu’«une frontière n’a jamais été conçue pour être bouclée, il n’y a que les imbéciles et les profanateurs qui font ça». Son aventure, elle l’entreprend pour défendre «le droit des peuples à n’être jamais séparés de ceux qu’ils aiment». Un texte délicieusement composé, mais trahissant une souffrance, celle de ne plus pouvoir retrouver les «siens» et de ne rien pouvoir contre l’absurde. Le voici.