Tous les articles correspondant à #Omar Radi

Affaire Bouachrine & Co: la grande différence entre la grâce et l’amnistie, selon l’avocate Aïcha Ansar-Rachidi
Avocate au Barreau de Paris, Me Aïcha Ansar-Rachidi revient dans cette tribune sur la récente grâce dont Taoufik Bouachrine, Souleimane Raissouni et Omar Radi ont bénéficié. Pour elle, il n’a jamais été question d’amnistie pour les concernés, vu la gravité des faits. L’intérêt des victimes aujourd’hui est qu’elles soient dédommagées de leur préjudice, aussi grave et profond soit-il.
Grâce royale accordée à des journalistes: le SNPM répond au communiqué «vicieux» et «inexact» de la FIJ
Le communiqué de la Fédération internationale des journalistes (FIJ) au sujet de la grâce royale accordée récemment à des journalistes est «vicieux et inexact», a affirmé le Syndicat national de la presse marocaine (SNPM).
Grâce pour Bouachrine, Raissouni et Radi: pour l’AMDV, la page n’est pas encore tournée
La grâce royale accordée aux journalistes Taoufik Bouachrine, Souleimane Raissouni et Omar Radi a suscité des satisfactions, mais aussi des réserves. L’Association marocaine de défense des droits des victimes (AMDV) participe au débat en apportant de précieux éclaircissements. Entretien avec ses deux premières responsables, Me Aïcha Guellaâ et Fatima Zohra Chaoui.
Oui à la grâce… et à la réparation: la défense des victimes de Bouachrine, Radi et Raissouni monte au créneau
Tout en se félicitant de la grâce royale accordée dans le cadre de la fête du Trône à des détenus condamnés pour des crimes et délits de droit commun, l’Association marocaine des droits des victimes, qui représente les victimes de Taoufik Bouachrine, Omar Radi et Soulaimane Raissouni, plaide pour la réparation de personnes marquées à jamais par les méfaits desdits coupables. Ceci, en application des jugements prononcés dans le volet civil des affaires et ne sont nullement couverts par la grâce.
Justice: prison ferme pour le député Yassine Radi
Le parlementaire Yassine Radi vient d’écoper d’un an de prison ferme. Il était entre autre inculpé pour non-assistance à personne en danger. Lors d’une soirée, une jeune fille avait en effet chuté du balcon de la villa du député à Rabat. Cette revue de presse est tirée d’un article d’Assabah.
Prisons: la DGAPR répond aux allégations de la famille de Omar Radi et de RSF
La Délégation générale de l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) a répondu aux allégations de la famille de Omar Radi et de l’ONG Reporters sans frontières (RSF) au sujet de l’accident dont a été victime ce détenu à la prison Tiflet 2. Explications.
La DGAPR répond à RSF au sujet de ses allégations concernant le détenu Omar Radi
Malgré les clarifications de la prison locale Tiflet II au sujet des allégations du père du détenu Omar Radi, Reporters sans frontières (RSF) a tenu à relayer les mêmes mensonges sur son site officiel. Voici la réaction de la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR).
Mauvaises conditions de détention de Omar Radi: le démenti formel de la direction du pénitencier Tiflet 2
La direction de la prison locale de Tiflet 2 a démenti les allégations calomnieuses concernant les conditions de détention du détenu Omar Radi, soulignant qu’il n’est pas interdit de lecture ni d’écriture, et que son hébergement en cellule individuelle est survenu suite à sa demande.
Allégations de mauvais traitements du détenu Taoufik Bouachrine: la DGAPR répond à des médias français
Plusieurs médias français ont récemment relayé des allégations de mauvais traitements qui auraient été infligés au détenu Taoufik Bouachrine. Voici la réponse de la Délégation générale de l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR), qui réfute en bloc ces accusations.
Omar Radi, Saad Lamjarred et Achraf Hakimi… catalyseurs de nos contradictions
Cette espèce de gymnastique à laquelle se sont livrées des féministes à géométrie variable est une insulte aux femmes marocaines victimes de viol, et reconnues par la justice de leur pays en tant que telles. Pourquoi croire Laura Prioul davantage que Hafsa Boutahar? Soit on se range du côté de toutes les femmes qui se disent victimes, soit on épargne aux autres un avis biaisé et hypocrite.