Tous les articles correspondant à #Romans

L’éditeur marocain La Croisée des chemins propose à ses lecteurs la collection littéraire «Sembura», dédiée aux auteurs africains d’expression française, déjà riche d’un grand nombre de titres. Le360 en présentera, durant ce mois d’août, une sélection de quatre romans coups de cœur de la rédaction. Cette semaine (4/4), nous ouvrons les pages de «Percussions», de l’écrivain camerounais Angelo Bayock.

L’éditeur marocain La Croisée des chemins propose à ses lecteurs la collection littéraire «Sembura», dédiée aux auteurs africains d’expression française, déjà riche d’un grand nombre de titres. Le360 en présentera, durant ce mois d’août, une sélection de quatre romans coups de cœur de la rédaction. Cette semaine (3/4), nous ouvrons les pages de «L’odyssée du guerrier», de l’écrivain camerounais Armand Tamafouo.

L’éditeur marocain La Croisée des chemins propose à ses lecteurs la collection littéraire «Sembura», dédiée aux auteurs africains d’expression française, déjà riche d’un grand nombre de titres. Le360 en présentera, durant ce mois d’août, une sélection de quatre romans coups de cœur de la rédaction. Cette semaine (2/4), nous ouvrons les pages de «Makila», de l’écrivain congolais Elvis Ntambua Mampuele.

L’été donne envie de s’évader dans des imaginaires littéraires lointains, de profiter du temps disponible pour lire ou relire une œuvre classique qui a fait rêver toutes les générations. Les éditions la Pléiade de Gallimard nous gratifient d’un coffret de luxe «Les Mille et une nuits», l’occasion de redécouvrir, en mode farniente cette saison, un monument de la littérature arabe universelle.

Ce coffret de sept romans cultes de Mohammed Khaïr-Eddine, les plus emblématiques de sa carrière, représente plus qu’une simple réédition. Il s’agit d’une réhabilitation de la mémoire d’un écrivain dont les mots étaient des armes et qui a défié le langage commun pour réinventer la langue.

Parfois, l’écrivain se substitue à l’historien et joue un rôle de défricheur du passé. Rachid Boufous alimente notre imaginaire d’époques lointaines du Maroc qu’il compare à un «musée à ciel ouvert». Ce travail de dévoilement de pans de notre histoire, souvent cocasses avec leurs lots de malheurs humains au fil des siècles, est plein d’enseignement sur la grandeur du Royaume du Maroc.

Parfois une voix adolescente lointaine remonte des tréfonds des écrivains et les tient en otage. «Le premier été» brosse le portrait libre et intime d’une jeune fille qui découvre l’amour dans les années 80, et qui finit par devenir le croquis de toute une génération dorée du Maroc moderne.

Osama Almuslim n’a donc pas attendu que je vienne à lui, c’est lui qui est venu à moi. Et à nous. Nous ne parlons pas d’un écrivain à succès, mais d’un phénomène de société.

En 1940, Romain Gary, à l’époque jeune aviateur engagé dans les Forces françaises libres durant la Seconde guerre mondiale, se retrouva un bout de temps à Meknès après avoir reçu l’ordre avec son escadron de rejoindre le Maroc. Denis Labouret et Myriam Anissimov, deux spécialistes de Gary, reviennent avec Le360 sur l’épopée meknassie du prodige littéraire évoquée dans son roman «La Promesse de l’aube» paru en 1960.