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Alors que les préparatifs pour l’Aïd Al-Adha battent son plein, l’effervescence se fait sentir dans les souks et les marchés. Pour les familles, choisir le mouton à sacrifier est une décision importante, empreinte de traditions et de respect des préceptes religieux. Quelles sont alors les races ovines qui prédominent au Maroc et en quoi sont-elles particulières? Les réponses d’un expert.

Le Sardi est comme chaque année, à l’approche de Aïd Al-Adha, la race ovine la plus prisée chez les Marocains. Visite guidée dans cette ferme d’élevage dans les environs de Settat.

La hausse subite et «démesurée» du prix des boissons alcoolisées l’a vraisemblablement affecté. Que sa bouteille rivalise en tarif avec le Sardi, star incontestable et incontesté de Aïd Al-Adha, il y a une goutte de plus que l’ami alcoolodépendant a du mal à ingurgiter. Embourbé dans une crise «existentielle», il taille un costume aux coupables de cette hausse, refusant allègrement de faire son mea culpa. Écoutez-le argumenter.

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C’est sapé comme jamais que le Messi des moutons de l’aïd se présente à La Brigade. Avec des tarifs qui promettent de nouveaux records, il faut dire qu’il le vaut bien. Lui se défend de vendre cher son sacrifice. Pour lui, c’est la faute aux «shennaqa», ces intermédiaires et autres rabatteurs qui prennent les Marocains littéralement à la gorge en cette veille de fête d’Al-Adha.

Dans une ferme de Casablanca, l’opulence se mesure en kilogrammes et en dirhams. L’Aïd Al-Adha est là, et le mouton le plus cher, le fameux Sardi, est en vente à 15.000 dirhams. Les images.

Aïd Al-Adha approche à grands pas. Dans les environs de Berrechid, l’offre en ovins est abondante, mais les prix restent relativement élevés. Selon le poids, un mouton de la race Sardi se vend entre 2.500 et 8.000 dirhams, alors que le Bergui s’affiche à des prix entre 2.000 et 3.000 dirhams. Reportage.

Il écume les réseaux sociaux et son «actualité» fait sensation. Il se dit peu soucieux des «petits joueurs» espagnols ou roumains importés pour lui faire de l’ombre, ou en réguler le prix. Véritable icône de l’Aïd Al-Adha, le Sardi demeure très convoité et, donc, très cher, bien souvent inaccessible. Il s’en explique…et en joue un peu.

Une offre aussi abondante que diversifiée, et surtout des prix particulièrement variés: tel est le menu de cette promenade, à quelques semaines de Aïd Al-Adha, au Souk Jemaa Fdalate, dans les environs de Mohammédia, où Le360 vous emmène pour un tour.