Tous les articles correspondant à #Soumaya Naâmane Guessous

Du ministre de l’Enseignement supérieur sortant et du ministre entrant
La vidéo d’une banale passation de pouvoirs entre l’ancien ministre et le nouveau enflamme les réseaux sociaux. La raison? Le pouvoir de l’image.
Tbaaaarka Allah! Ceci est ma deux centième chronique!
L’écriture est un doux vice. Une addiction. Une fois qu’on y goûte, difficile de s’en défaire. Écrire permet de se réfugier dans un monde sécurisant, apprendre, satisfaire sa curiosité, s’informer, partager… C’est se sentir obligé d’informer, d’attirer l’attention sur un fait, dénoncer, sensibiliser, espérer faire changer les positions face à une cause, une injustice. Pour sensibiliser l’opinion publique et faire agir ceux qui occupent les lieux de décision.
Combien de perversions sexuelles connaissez-vous?
Je suis souvent sollicitée, à travers les réseaux sociaux, par des inconnus. Ils ou elles me posent des questions intimes, impossibles à poser à des proches. Je réponds toujours ou j’oriente vers des spécialistes.
Wallahi, toumma Wallah! Je n’en peux plus de la circulation à Casablanca!
Manque d’éthique, de civilité, de civisme, de discipline… De sanctions. Une honte pour une ville aussi prestigieuse que Dar al Baida qui a tant d’ambition !
Les frères et les sœurs de lait en Islam
Le don de lait par une femme à un nourrisson qui n’est pas le sien crée des liens sacrés. Et des drames peuvent en découler!
Internautes, attention à ne pas tomber dans les griffes des brouteurs et des arna-cœurs!
Les autorités arrivent parfois à tracer les escrocs, mais toutes les victimes ne portent pas plainte. Combien de personnes se sont ainsi fait avoir au Maroc? Nous ne le saurons jamais!
Dis-moi. Ton mouton, il était de quelle nationalité?
Pour la première fois, le Maroc a permis l’importation de moutons pour stabiliser les prix, et a supprimé les droits de douane et la TVA. Et votre mouton, est-il marocain, espagnol, portugais ou roumain?
Fatim-Zahra, une des victimes de la cruauté de la politique algérienne à l’égard du Maroc
Au début de mes enquêtes sociologiques, je pleurais face à des témoignages émouvants. Ensuite, j’ai pu maitriser mes émotions. Je n’ai pas pu retenir mes larmes en écoutant Fatim-Zahra.
Affaire de la petite Sanae: voici le verdict prononcé en appel contre les violeurs
La Cour d’appel de Rabat a condamné aux premières heures de ce vendredi 14 avril les trois agresseurs de la petite Sanae, âgée aujourd’hui de près de 13 ans et victime d’un viol collectif à répétition, à de lourdes peines. Les voici.
Deux ans de prison pour les violeurs d’une fillette de 11 ans ou l’insoutenable légèreté de la justice
C’est l’histoire d’un drame humain comme il en existe encore plusieurs, mais qui ne supportent plus aucune forme d’indulgence au Maroc du 21e siècle. S. a 11 ans quand elle se fait violer à répétition, non pas par un, ni deux, mais trois adultes. Elle tombe enceinte et c’est là où le scandale éclate. Quand un verdict censé rendre la justice se limite à condamner les violeurs à 2 ans de prison, c’en est trop. S., elle, devra vivre toute sa vie avec une plaie ouverte... et élever son fils, fruit d’une inqualifiable violence. Une expertise médicale par ADN a identifié le père, jugé et emprisonné, mais nullement tenu, et de par la loi, de reconnaître l’enfant, ni de l’entretenir. Dans cette lettre ouverte au ministre de la Justice, la sociologue Soumaya Naamane Guessous* exprime une indignation, et le mot est faible, qui devrait être générale quant à l’insoutenable légèreté d’un jugement qui, en définitive, normalise non seulement le viol sur mineurs, mais toute une injustice que subissent encore des Marocain.e.s dont le seul tort est d’être mal-né.e.s. Plus jamais ça.