Conservation foncière: bon cru en 2017

DR

Revue de presseKiosque360. L’Agence nationale de conservation foncière signe une augmentation de 13% de ses recettes et de 46% de la superficie immatriculée. Et les projets structurants avancent au bon rythme.

Le 15/04/2018 à 20h14

Les réalisations de l’Agence nationale de la conservation foncière, du cadastre et de la cartographie (ANFCC) poursuivent leur trend haussier en 2017. C’est ce qu’on peut lire dans les colonnes d’Aujourd’hui le Maroc, dans son édition du 16 avril. Le quotidien indique que l’Agence affiche des augmentations significatives de l’ensemble de ses indicateurs.

Dans ce sens, les recettes de l’agence sont en hausse de 13%. La superficie immatriculée a enregistré une hausse de 46% au moment où l’établissement des titres fonciers issus de l’immatriculation a progressé de 37%. C’est ce qui ressort en gros du Conseil d’administration de l’agence tenu mercredi 11 avril 2018.

Présidant ce conseil, Aziz Akhannouch, ministre de l’Agriculture a salué les efforts déployés par l’ANFCC en matière d’immatriculation foncière dans le monde rural. Le ministre a par ailleurs insisté sur la nécessité d’en accentuer le rythme. Il a également salué la volonté de l’agence d’assurer un service de qualité et de proximité au profit des usagers. Le Conseil a également connu la présence de Abdellatif Loudiyi, ministre délégué chargé de l’Administration de la défense nationale ainsi que les représentants des autres départements ministériels, membres du conseil d’administration.

Lors de cette réunion, Karim Tajmouti, directeur général de l’ANCFCC a également exposé la vision stratégique définie par l’agence à horizon 2021. Le conseil était également une occasion pour dresser l’état d’avancement des projets structurants menés par ce département. Citons à cet effet, la dématérialisation des procédures et des échanges avec les usagers et les partenaires professionnels de l’agence, la redéfinition et l’organisation du système de gestion de l’ANFCC, la mise à niveau des blocs fonciers et la sécurisation du système d’information.

Par Fayçal Ismaili
Le 15/04/2018 à 20h14