Efficacité énergétique: première coopération tripartite Maroc-Sénégal-Andalousie

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Revue de presseKiosque360. C'est parti pour le premier programme de coopération triangulaire dans le domaine de l’efficacité énergétique. Les détails dans cette revue de presse tirée du journal Les Inscriptions ÉCO.

Le 16/03/2022 à 22h09

La promotion de l’efficacité énergétique était l'un des principaux objectifs de la convention de partenariat signée mercredi 16 mars entre l’Agence marocaine pour l’efficacité énergétique (AMEE) et l’Agence nationale des énergies renouvelables du Sénégal (ANER). Les Inscriptions ÉCO, dans son édition du jour, précise que l'accord vise la promotion de l’efficacité énergétique et des énergies alternatives au Sénégal, avec l’appui de l’Agence andalouse de coopération internationale au développement (AACID) de la Junta de Andalucía (Espagne), qui a des antennes dans les deux pays.

Le quotidien ajoute que "cette convention s’inscrit, du côté marocain, dans le cadre du protocole de promotion de l’utilisation des énergies alternatives dans le nord du Maroc conclu entre l’AMEE et l’AACID et, du côté sénégalais, dans le cadre du protocole paraphé entre l’ANER et l’AACID pour l’octroi d’une subvention destinée à la promotion de l’efficacité énergétique et des énergies alternatives au Sénégal". 

Selon le journal, ce partenariat est une première pour l’AMEE, eu égard au fait qu'il s’agit d’une coopération triangulaire Nord-Sud-Sud qui vise cinq principaux objectifs, à commencer par la promotion de l’utilisation efficiente de l’énergie à travers la réalisation de projets pilote d’énergies alternatives et efficientes au Sénégal, et ce via l’équipement en panneaux solaires photovoltaïques de centres sociaux pour l’éclairage, l’eau et l’électrification décentralisée en général.

Il y a, ensuite, la réalisation de programmes de formation et d’échange de savoir-faire entre l’Andalousie, le Maroc et le Sénégal, puis la mise en place des moyens de gestion appropriés pour assurer la disponibilité des moyens techniques et financiers pour l’entretien, la maintenance, le renouvellement des composants de ces systèmes et, éventuellement, l’extension des services mis en place, sans oublier la formation du personnel technique.

Par Rachid Al Arbi
Le 16/03/2022 à 22h09