L’Office des changes entame sa mue. Dans son édition de ce vendredi 15 décembre, L’Économiste rapporte que l’organisme a changé son organigramme. C’est ainsi que certains départements ont été regroupés en un seul. Ils ont été réduits à 7 au lieu de 9 précédemment.
Hassan Boulaknadel, DG de l’Office, explique sur les colonnes du quotidien qu’«il s’agissait à la fois d’une optimisation mais surtout de la mise en place d’une organisation agile capable de répondre à toutes les évolutions de l’environnement externe». Ce changement devrait permettre «l’efficience des métiers de contrôle et une célérité dans le traitement des dossiers», ajoute-t-il.
Dans ce cadre, l’Office a regroupé les métiers de contrôle au sein d’un seul département, celui de la supervision. L’objectif étant d’obtenir des synergies entre toutes les structures de contrôle.
Et, pour accompagner le contrôle, une nouvelle entité dédiée aux analyses des données et investigations a été créée.
Dans la nouvelle organisation, une place importante a été accordée à la gestion de la relation avec les usagers.
Le journal affirme qu’une division spéciale lui a été dédiée et sera l’unique interlocuteur des partenaires et de ceux qui font appel aux services de l’Office.
À cela s’ajoute la création d’un département «réglementation et affaires juridiques» qui aura notamment comme mission de sensibiliser les opérateurs et les banques aux évolutions réglementaires.
Ce changement est la matérialisation de la première étape du plan stratégique triennal 2018-2021 de l’Office, conclut la publication.