La Stratégie nationale de développement durable sur la table

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Revue de presseKiosque360. Les responsables travaillent actuellement à la mise en œuvre des 31 axes de la Stratégie nationale de développement durable (SNDD). En effet, le comité stratégique vient d’être organisé par le gouvernement en présence des représentants des différents ministères concernés. Le point.

Le 27/02/2019 à 22h11

La Stratégie nationale de développement durable (SNDD) a été adoptée par le conseil des ministres, tenu le 25 juin 2017 sous la présidence de SM le Roi Mohammed VI. Aujourd’hui, une nouvelle étape a été franchie. Le comité stratégique de développement durable vient d’être organisé par le gouvernement en présence des représentants des différents secteurs ministériels concernés par cette question, comme le rapporte Aujourd’hui le Maroc dans son édition de ce 28 février.

Afin de coordonner les actions des différents départements, le mécanisme approprié est à l'étude. Dans ce sens, lors de sa dernière réunion, le comité stratégique a adopté la révision du décret portant sa création et plusieurs recommandations sont sorties, comme le fait savoir le journal. Ces dernières portaient sur la nécessité de renforcer la présence des concepts du développement durable dans le système de l’éducation, de l’enseignement et de la formation. L’une d’entre elles? Charger le comité de pilotage de mettre en place un système de suivi et d’évaluation des indices d’exécution de la SNDD mais aussi d’établir un rapport sur le bilan d’activités menées pour la réalisation de ladite stratégie, et ce avant fin mai 2019.

Les mesures opérationnelles de la Stratégie nationale de développement durable respectent à la lettre les principes retenus par la loi-cadre 99-12, à savoir le principe d’intégration (approche globale, intersectorielle et transversale). Mais surtout, les responsables misent sur l’exemplarité de l’État, comme le souligne le quotidien. Comment? Par exemple, en généralisant les démarches environnementales au sein des bâtiments publics et en inscrivant les établissements publics dans une logique de gestion et de valorisation des déchets, d’économie d’eau et d’énergie.

Par Fayçal Ismaili
Le 27/02/2019 à 22h11