Partenariat public-privé: la formation des ingénieurs du secteur industriel renforcée

Ryad Mezzour, ministre de l'Industrie et du Commerce.

Ryad Mezzour, ministre de l'Industrie et du Commerce. . DR

Revue de presseKiosque360. Le secteur industriel a un besoin croissant d’employés de plus en plus pointus. Ainsi, un nouveau partenariat public-privé vient de voir le jour afin de renforcer la formation des ingénieurs. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Aujourd’hui le Maroc.

Le 16/02/2022 à 18h47

L’offre en formation dans le domaine de l’industrie a été renforcée. En effet, un partenariat a été signé entre Ryad Mezzour, ministre de l’Industrie et du commerce, Abellatif Miraoui, ministre de l’Enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation, Chakib Alj, président de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), Abdelmoumen Hakim, président de l’Association marocaine pour l’industrie et la construction automobile (AMICA) et Karim Cheikh, président du Groupement des industries marocaines aéronautiques et spatiales (GIMAS), rapporte Aujourd’hui le Maroc dans son édition de ce 17 février. 

L’objectif? Mettre en oeuvre une formation sur mesure répondant parfaitement au besoin croissant et pointu des industriels, pour combler le gap quantitatif et qualitatif en formation des ingénieurs, des cadres moyens et des techniciens spécialisés, à l’horizon 2025. «Sa Majesté le Roi Mohammed VI a placé la formation au cœur des priorités nationales dans la perspective de doter notre pays de compétences à même de relever les défis de la compétitivité mondiale et de renforcer notre souveraineté industrielle», a notamment souligné le ministre Ryad Mezzour, ajoutant que ce partenariat public-privé était pleinement conforme aux recommandations du Nouveau Modèle de Développement (NMD).

Dans ses colonnes, le journal indique également que cette convention, en plus de la mise à niveau de la formation existante, vise l’intégration progressive de modules de formation sur les soft skills, la production durable/décarbonée et l’industrie 4.0, mais aussi l’implication des industriels dans l’amélioration de l’offre de formation des universités, notamment pour les secteurs automobile et aéronautique.

Par Fayçal Ismaili
Le 16/02/2022 à 18h47