Les Algériens, farouchement opposés à ce scrutin présidentiel, imposé par le régime, n’entendent pas baisser les bras et continuent d’opposer leur veto catégorique à ce qu'ils qualifient de «mascarade».
Ce dimanche matin, 17 novembre 2019, alors que la campagne électoale a débuté pour l'ensemble des candidats en lice, au centre de la capitale, Alger, les photos de victimes de violences policières, et de détenus politiques, ont été placardées, en lieu et place des portraits des cinq candidats, comme le rapporte dans un Tweet le journaliste Khaled Drareni.