"Les terroristes ne vaincront jamais un peuple uni qui aime la liberté face à la barbarie", a tweeté Mariano Rajoy, le chef du gouvernement espagnol.
"Ils ne nous terroriseront pas. Toute l'Espagne est Barcelone. Les Ramblas appartiendront de nouveau à tous", a écrit le palais du roi espagnol Felipe VI.
Le joueur de football vedette du Real Madrid, le Portugais Christiano Ronaldo, s'est dit "consterné par les nouvelles de Barcelone."
"Que Dieu réconforte toutes les familles", a posté sur son compte Twitter le Brésilien Neymar, qui a joué au FC Barcelone de juin 2013 à août 2017 avant de rejoindre le Paris Saint-Germain.
Le Royaume-Uni, frappé par plusieurs attentats au cours des derniers mois, est "solidaire de l'Espagne contre le terrorisme", a réagi la Première ministre britannique.
"Mes pensées vont aux victimes de la terrible attaque survenue aujourd'hui à Barcelone et aux services d'urgence", a déclaré Theresa May sur Twitter.
"Les Etats-Unis condamnent l'attaque terroriste de Barcelone et feront tout ce qui est nécessaire pour aider", a indiqué le président Donald Trump sur Twitter. "Soyez courageux et forts, nous vous aimons!"
Peu avant, le secrétaire d'Etat Rex Tillerson avait assuré que les Etats-Unis seraient aux côtés de l'Espagne dans l'enquête à venir.
Le président Emmanuel Macron a transmis "la solidarité de la France pour les victimes de la tragique attaque à Barcelone". "Nous restons unis et déterminés", a-t-il dit sur Twitter.
La maire de Paris Anne Hidalgo a annoncé que la tour Eiffel serait éteinte à 00h45 dans la nuit de jeudi à vendredi "en hommage aux victimes de l'attentat de Barcelone".
Le porte-parole de la chancelière Angela Merkel a dénoncé une attaque "révoltante". "Nous pensons avec une profonde tristesse aux victimes de l'attaque révoltante de Barcelone", a déclaré Stefen Seibert sur son compte Twitter.
"La folie meurtrière des terroristes frappe à Barcelone", a écrit sur Twitter Didier Reynders, le ministre des Affaires étrangères, dont le pays a été durement touché par des attentats jihadistes. "Nous sommes à nouveau solidaires et pensons aux victimes et à leurs proches".
Le Premier ministre canadien Justin Trudeau s'est exprimé sur Twitter : "Le Canada condamne l'attentat terroriste de Barcelone. Nos pensées, nos condoléances et notre soutien vont aux victimes et à leur famille."
C'est une "attaque lâche contre des personnes innocentes", a déclaré le Premier ministre Mark Rutte sur sa page Facebook, parlant d'un "jour noir".
"Barcelone la splendide, l'amie, est attaquée. L'Italie est proche des autorités locales et espagnoles", a déclaré Paolo Gentiloni, le chef du gouvernement italien.
Le pape François a quant à lui fait part de sa "grande préoccupation" et de sa proximité avec le peuple espagnol.
Le Premier ministre grec, Alexis Tsipras, a exprimé sa "solidarité avec le peuple espagnol", sur Twitter. "En ces moments difficiles, les pensées de tous sont à Barcelone".
Le président russe Vladimir Poutine, a appelé à une lutte mondiale contre "les forces du terrorisme".
"Ce qui s'est passé confirme une fois de plus la nécessité d'une unification véritable des efforts de toute la communauté mondiale dans une lutte sans compromis contre les forces du terrorisme", a déclaré M. Poutine dans un télégramme de condoléances au roi d'Espagne Felipe VI, qualifiant l'attaque de "crime cruel et cynique".
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a appelé le "monde civilisé" à s'unir contre le terrorisme. "Israël condamne fermement l'attaque terroriste à Barcelone. (...) Ce soir, nous avons à nouveau vu que le terrorisme frappe n'importe où".
Le ministère des Affaires étrangères turc a condamné "avec la plus grande fermeté" l'attaque de Barcelone dans un communiqué. "Nous réitérons notre résolution à rester solidaires de l'Espagne, qui est un (pays) ami et allié de la Turquie, et de fournir à cette fin toute l'aide possible."
Le ministre japonais des Affaires étrangères Taro Kono, a exprimé ses "plus profondes condoléances" aux victimes et à leurs familles: "En ces temps très difficiles, j'aimerais dire notre solidarité avec l'Espagne".
Le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, a "condamné les attaques" et "présenté ses sincères condoléances aux familles et proches des personnes tuées ainsi qu'au gouvernement et au peuple espagnol".
Il souhaite "un prompt rétablissement aux blessés et espère que les responsables de cette violence haineuse vont être rapidement traduits en justice". M. Guterres a fait part de la solidarité des Nations unies "avec le gouvernement espagnol dans son combat contre le terrorisme et la violence extrémiste".
"Les membres du Conseil de sécurité des Nations unies condamnent de la façon la plus ferme l'attaque terroriste barbare et lâche de Barcelone", a précisé un communiqué du Conseil: "Ils réaffirment que le terrorisme sous toutes ses formes et manifestations constitue une des menaces les plus graves à la paix et la sécurité au niveau international".
"Mes plus profondes condoléances aux familles et aux proches des victimes, à Mariano Rajoy et aux citoyens d'Espagne", a écrit Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne, sur Twitter.
Le président du Parlement européen, Antonio Tajani, a offert son "plein soutien" aux autorités espagnoles. "L'UE unie pour défendre la paix", a-t-il poursuivi sur Twitter.
Pour le président du Conseil européen, Donald Tusk, sur Twitter, "toute l'Europe est avec Barcelone."
Le secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg a dénoncé sur Twitter une "terrible" attaque: "Nous restons unis dans la lutte contre le terrorisme."