"La semaine prochaine, nous commencerons à le faire ici (au Vatican, NDLR) et j'ai pris rendez-vous, il faut le faire", dit-il dans cet entretien qui doit être diffusé dimanche soir, mais dont des extraits ont été publiés par la chaîne.
Face au vaccin, "il y a un négationnisme suicidaire que je ne saurais pas expliquer, mais aujourd'hui il faut se faire vacciner".
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"Je crois que d'un point de vie éthique tout le monde doit se faire vacciner, c'est un choix éthique, parce ce qu'on met à risque sa santé, sa vie, mais aussi la vie des autres", explique-t-il dans cet entretien.
"Quand j'étais enfant, je me souviens qu'il y a eu l'épidémie de poliomyélite, à cause de laquelle beaucoup d'enfants sont restés paralysés et on attendait désespérément un vaccin (...) Quand le vaccin est sorti, on le donnait avec du sucre", se remémore le pape argentin. "Puis nous avons grandi à l'ombre des vaccins, contre la rougeole, contre ceci, contre cela, des vaccins qu'on faisait aux enfants".
"Je ne sais pas pourquoi quelqu'un dit: Non, le vaccin est dangereux, mais si les médecins le présentent comme une chose qui peut être bien, qui ne présente pas de risques particuliers, pourquoi ne pas le faire?" s'interroge le pape François.