Agés de 36 et 47 ans, la femme et l'homme, qui sont des vendeurs à la sauvette, ont été confondus par l’incohérence de leurs propos face aux enquêteurs, qui ont découvert que leur téléphone portable, au moment de l'explosion, bornait à Aulnay-sous-Bois, lieu de leur résidence.
Selon les médias français, l’avocat du Fonds de garantie des victimes des actes de terrorisme et d’autres infractions (FGTI), qui recevra un euro symbolique, a déploré que l’action duFonds, qui a déjà indemnisé 2.434 victimes du 13 novembre, soit perturbée par ces fausses victimes qui croient jouer à «la roue de la fortune».
Cette condamnation est la quatrième du genre, depuis les attentats de Paris et Saint-Denis, pour tentative d'escroquerie ou escroquerie envers le FGTI.