Il croyait pouvoir «se racheter» en flattant la fibre «anti-marocaine» de ses maîtres à Alger. Il a d’ailleurs fait son «miel» sur sa vocation de tribun invétéré de la «RASD», usant de sa plume et surtout d’un lexique nauséeux hérité de la défunte époque de la guerre froide pour s’attaquer via un support à la botte des hauts galonnés algériens hostiles aux intérêts du Maroc et à son intégrité territoriale. Mais l’état de grâce dont a bénéficié le très bavard Belani, depuis sa nomination en 2013 par Ramtane Lamamra, en tant qu’ambassadeur d’Alger à Bruxelles, semble arriver à échéance. C’est du moins ce qui ressort de cette pique plantée par un site algérien pro-gouvernemental, réputé être très proche des hauts galonnés tapis au luxueux Club des Pins, à Alger, aux diplomates algériens, notamment Amar Belani, sous ce titre caustique: «Entre carences et congés de maladie: la vacance de postes au MAE se creuse chaque jour davantage».
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D’après ledit site d’information, Amar Belani passerait plus de temps à Alger qu’à Bruxelles, où il devrait officier depuis sa nomination en 2013 en tant qu’ambassadeur d’Alger auprès de l’Union europénene.
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«Selon des indiscrétions, il aurait bénéficié d’une durée de séjour à l’Administration centrale plutôt écourtée par rapport à ses collègues, depuis son rappel de Malaisie en 2009. Pour son affectation à Bruxelles en 2013, dans le cadre du tout premier mouvement diplomatique proposé par Ramtane Lamamra, il aurait fait valoir l’impératif d’une bonne prise en charge d'un souci de santé qu’il ne pouvait plus concilier avec le stress de sa fonction de porte-parole qu’il assumait jusque-là», assène ledit site d’information.
Le site d'information ne nomme pas Amar Belani, mais tout le monde reconnaît l'intéressé qui a obtenu un poste d'ambassadeur à Bruxelles, non pas par mérite, mais en faisant "valoir l'impératif d'une bonne prise en charge médicale".
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Or voilà, «depuis qu’il est à Bruxelles, les raisons de santé semblent s’être inversées, nous dit-on, et Amar Belani passerait davantage de temps à Alger qu’à Bruxelles», relève la même source, se demandant pourquoi «nos Chefs de mission (accrédités entre autres à Bruxelles, Paris, Canberra, Oslo, Vienne, Maputo, ou encore Tunis, sont curieusement, soit hospitalisés pour longue durée soit souvent en congé de maladie et injoignables»!
Une absence à l’image d’une diplomatie algérienne réduite à brasser de l’air, quand on sait à quel point son discours pue la haine envers ses voisins (Tunisie et Libye), pour ne pas parler du Maroc, devenu curieusement le principal sujet de la "politique étrangère" de ce pays à la dérive.
Quant à ce pitoyable Belani, nous comprenons enfin les raisons de ses diatribes en série contre le Maroc. Il a abandonné son poste pour se transformer en scribouillard. Et il espère que la virulence de ses attaques contre le Maroc maintiendra son salaire en euros qui tombe chaque fin de mois.