Invoquant dans un message sur Facebook et sur Twitter «la fidélité aux valeurs de la droite républicaine et à notre culture de gouvernement», il mentionne aussi «la valorisation du travail» par le président sortant et «son engagement européen clair et sans ambiguïté».
Avant le premier tour, il n'avait pas apporté son soutien à la candidate de droite Valérie Pécresse, qui n'a recueilli que 4,78% des suffrages lors du premier tour dimanche.
Cette fidélité aux valeurs de droite et «à notre culture de gouvernement» «doit nous conduire à répondre à l’appel au rassemblement d’Emmanuel Macron en vue de l’élection présidentielle», a-t-il encore ajouté.
L'ancien président justifie son soutien par le fait que le président candidat «a l’expérience nécessaire face à une grave crise internationale plus complexe que jamais» et que «son projet économique met la valorisation du travail au centre de toutes ses priorités».
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Enfin «son engagement européen est clair et sans ambiguïté», ajoute-t-il. Soulignant que «l'intérêt de la France doit être notre seul guide», il affirme qu’«on ne se trompe jamais en choisissant la clarté et la constance».
Il affirme également qu’«une nouvelle époque s’annonce», qui «nécessitera des changements profonds».
«Il faudra sortir des habitudes et des réflexes partisans. Le contexte international et la situation financière sont graves et imposeront des décisions difficiles et urgentes. Ils exigeront des choix qui engageront la France pour les cinq années à venir», ajoute l'ancien chef de l'Etat.