Dans un entretien avec Le360, ce politologue pense que la disparition de Gaïd Salah et la nomination de son successeur par interim, Said Chengriha n'apporteront aucun changement positif aux relations, marocco-algériennes, déjà tendues.
"Ce sont les civils qui oeuvrent pour la réconciliation, le progrès et la paix, pas les militaires", a-t-il martelé.
Taj Eddine El Hosseini a néanmoins émis le voeu que l'Algérie réponde à la main tendue par le Maroc pour que ces deux puissances régionales aillent dans le sens "d'un grand Maghreb fort et prospère".