La fermeture du poste-frontière de Béni Nsar, décidée par Rabat, début août dernier, continue de nourrir la polémique dans les milieux politiques espagnols.
Ce poste-frontière est fermé depuis des mois «sans que le gouvernement espagnol ne fasse rien du tout», a déclaré Pablo Casado, le chef du PP lors d’une visite au préside occupé de Melilla.
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«Ce que nous disons, c’est que nous allons réclamer la réouverture de ce poste par où transit le commerce avec le pays voisin, qui est essentiel pour l’économie locale, mais aussi stratégique pour deux pays alliés et amis comme l’Espagne et le Maroc», a renchéri le président du PP, dans une déclaration rapportée par l’agence Europa Press.
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Il a qualifié de «surprenant» le fait que le gouvernement socialiste «n’ait rien fait pour trouver une solution à cette situation», malgré les demandes formulées dans ce sens par le président du préside occupé, Juan José Imbroda.
