Alors que l'offre du cheptel est abondante et que la demande est faible à cause de la crise financière engendrée par la crise sanitaire, les prix ne sont pas à la portée de tous les ménages à Dakhla.
Le fourrage utilisé pour nourrir le bétail a connu, cette année, une flambée des prix sans pareil. Et ce, à cause de l’épisode de sécheresse dans les provinces du Sud, d’où la hausse des prix des moutons. C'est ce que plusieurs éleveurs ont confirmé dans ce reportage réalisé par Le360.
Lire aussi : Vidéo. Marrakech-Safi: renforcement des contrôles sanitaires du cheptel à l’approche de l’Aïd al-Adha
"Il faut débourser plus de 2.500 dirhams pour acheter un mouton de race Serdi et plus de 1.250 dirhams pour acheter une chèvre”, explique un éleveur. Il s'agit de prix jugés "exorbitants" par les clients.
Pour rappel, l'Aïd al-Adha sera célébré cette année le mercredi 21 juillet.