Tous les articles correspondant à #Abdelmadjid Tebboune

Algérie: Tebboune entame son second mandat avec des chiffres farfelus
Massivement désavoué lors d’une présidentielle boycottée par plus de 80% d’Algériens, Abdelmadjid Tebboune n’en finit pas de chercher à se légitimer aux yeux du peuple à travers des promesses irréalisables. Son discours d’investiture pour un second mandat, prononcé le mardi 17 septembre, a été un remake de ses litanies de campagne et de ses sorties médiatiques durant son premier mandat, truffé de chiffres qui dépassent l’entendement.
La farce électorale algérienne
Dans les années qui viennent, l’Algérie, qui se trouvera au pied du mur, va devoir procéder à des choix économiquement vitaux, mais politiquement explosifs. Et comme l’heure de vérité ne pourra pas être éternellement repoussée, la dernière farce électorale pourrait bien ressembler à un des derniers clous plantés dans le cercueil du «Système».
Mascarade de la présidentielle algérienne, le jour d’après: la monnaie s’effondre
La poussière du scandale de la présidentielle algérienne et de son lot de fraudes massives et de chiffres cacophoniques n’était pas encore retombée, qu’un nouveau feu se déclare dans le pays du monde à l’envers, cette fois-ci sur le front de l’économie. Le taux de change du dinar algérien sur le marché parallèle, le seul qui vaille, enregistre des records de baisse face à l’euro: depuis le dimanche 15 septembre, 1 euro s’échange contre pas moins de 244,5 dinars. Un nouveau symptôme d’une économie en faillite, d’institutions qui périclitent et de citoyens qui ne font plus confiance à leur monnaie.
Le36. EP426. Fraude électorale en Algérie: le gardien des urnes, Mohamed Charfi, convoqué par la Brigade
La cacophonie est le maître-mot de la réélection forcée du président algérien Abdelmadjid Tebboune, avec un score digne d’une république bananière. Convoqué par la Brigade, Mohamed Charfi, président de l’Autorité électorale algérienne, raconte les dessous de cette mise en scène inédite, grâce à laquelle l’Algérie est devenue la risée du monde. Une chose est sûre: le calcul n’est pas son fort.
Algérie: Tebboune, toujours mal élu
Sans surprise, en Algérie, le président sortant Abdelmadjid Tebboune a été réélu, mais au terme d’un scrutin fortement problématique. Et cela à plus d’un titre: outre les 94,65% des voix qu’il aurait ralliés, le taux de participation annoncé, de même que l’évolution du corps électoral, posent question.
L’œil de Gueddar. El Mouradia, j’y suis, j’y reste... se77a!
Algérie: la farce des élections présidentielles
Même dans la triche, les généraux algériens se ridiculisent et se dénoncent en proclamant des chiffres contradictoires lors de l’annonce des résultats des élections présidentielles. En effet, sur les 24 millions d’inscrits sur les listes électorales, les trois candidats n’ont obtenu que 5.600.000 voix, soit un taux de participation de moins de 25%. Un taux qui est très loin de celui de 48% claironné officiellement par l’autorité électorale. Cet article est tiré d’une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.
L’oeil de Gueddar. Haï de tous, le Système intronise de nouveau son larbin
Algérie: Abdelmadjid Tebboune, premier président au monde à contester les résultats qui le donnent vainqueur
Comme on pouvait s’y attendre, la gestion de la présidentielle anticipée du 7 septembre en Algérie a tourné à la catastrophe, exposant une nouvelle fois les dirigeants de ce pays à la risée du monde entier. En effet, les résultats du scrutin, massivement boycotté, ont été tellement gonflés et tripatouillés que le fraudeur, pris la main dans le sac, a été contraint de dénoncer celui qu’il avait chargé de simuler la surveillance des urnes. Les explications.
Tebboune, le candidat du Système, rempile pour un second mandat dans une «présidentielle» boycottée par les Algériens
Sans un soupçon de surprise, le président sortant, candidat attitré du «Système», a été désigné ce dimanche 8 septembre pour succéder à lui-même, à l’issue d’une véritable mascarade électorale, au cours de laquelle il a multiplié impossibles promesses et hallucinants chiffres. En face, les pseudo-candidats «rivaux» se sont limités à de discrets et stériles monologues, n’ayant pas le droit de citer ne serait-ce que le nom de leur adversaire, et encore moins de critiquer son bilan. Fait marquant, un boycott massif, supérieur à celui de 2019, même si le régime d’Alger a tout fait pour faire croire au contraire.