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Une soixantaine de blocs de toilettes publiques, modernes et gratuits, sera installée à Casablanca, pour un budget de 11,5 millions de dirhams. Design, caractéristiques, accessibilité… Voici tout ce qu’il faut savoir sur ce projet.

Dayat El Oulfa, située dans la préfecture de Hay Hassani à Casablanca, s’apprête à renaître de ses cendres. Le site, autrefois abandonné et source de nuisances, sera transformé en un espace vert attractif pour les habitants. Le coût de ces travaux de réhabilitation est estimé à 13 millions de dirhams.

Inauguré ce samedi 7 septembre, le Parc Sidi Othman, à Casablanca, s’étend sur une superficie de 8 hectares, dont 65% couverte de verdure.

Les Sociétés de développement local sont en cours de liquidation. Casa-Patrimoine en premier, puis Casa-Prestations, ensuite Casa-Event et Animation… En définitive, il n’en restera que quatre. Une revue de presse tirée du quotidien Assabah.

Casa-Baïa a lancé un appel d’offres pour l’acquisition de blocs sanitaires. Mais à peine 30 à 60 blocs de toilettes publiques sur le territoire de la commune de Casablanca, qui compte 16 arrondissements, sont concernés. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Economiste.

Avec l’arrivée de l’été et l’augmentation des températures et de l’humidité, la prolifération des insectes et des rongeurs devient une préoccupation majeure pour les habitants de Casablanca. Pour contrer cette menace sanitaire, la société de développement local Casa Baïa redouble d’efforts en lançant des campagnes intensives de désinfection à travers tous les quartiers de la ville.

Durant les trois jours de Aïd Al-Adha, précisément du 16 au 18 juin, 30.688 tonnes de déchets ont été générées à Casablanca. La mobilisation des autorités et des sociétés délégataires a permis de dégager ces montagnes de détritus vers la décharge contrôlée de Médiouna, évitant aux habitants les désagréments accompagnant habituellement cette période de fête.

Le boulevard d’Anfa, l’une des artères les plus fréquentées de Casablanca, est aujourd’hui le théâtre d’une tragédie écologique. Dans un entretien avec Le360, Salima Belemkaddem, ingénieur paysagiste et militante pour l’environnement, déplore l’abattage récent des arbres jacarandas qui embellissaient le boulevard depuis plus d’une décennie.