Tous les articles correspondant à #Chengriha

Le36. EP438. Pénurie et flambée des prix du café en Algérie, La Brigade s’en mêle
Victime du dirigisme excessif de la junte au pouvoir, le prix de la tasse de café a flambé récemment en Algérie, alimentant la colère des habitants. La saisie injustifiée de 23 mille tonnes de café au niveau des ports, ordonnée par le régime militaire, ne va sûrement pas arranger les choses. Convoquée par La Brigade, une grande marque de café dit tout le mal qu’elle pense de cette énième opération commando orchestrée par le duo Chengriha-Tebboune. Pour elle, «l’Algérie, c’est fini».
Sahara: faut-il dissoudre l’Association marocaine des droits humains?
La récente sortie du président de l’Association marocaine des droits humains (AMDH), Aziz Ghali, dans laquelle il exprime ouvertement son opposition à la marocanité du Sahara, relève d’une position politique sans lien avec la défense des droits de l’Homme. Il apparaît désormais évident que l’AMDH s’est transformée en association politique qui, en tant que telle, pourrait risquer la dissolution pour violations répétées de la Constitution marocaine et atteinte à l’intégrité territoriale du Royaume. Les détails dans cette revue de presse tirée du quotidien Al Akhbar.
L’œil de Gueddar. La junte persiste et signe, Boualem Sansal maintenu derrière les barreaux
Dar Lkabranate. EP-135. Abdelmadjid Tebboune, le président qui a voulu imposer le dinar à la place du dollar
L’enthousiasme dont a fait preuve le président Tebboune lors d’une visite à Moscou en juin 2023, en se montrant favorable à une nouvelle monnaie Brics et à une dédollarisation rapide de l’économie mondiale, va désormais coûter cher à l’Algérie. Et pour cause, Donald Trump a tout récemment menacé les pays partisans du Brics, affirmant que toute tentative de remplacement du dollar les exposerait à des droits de douane de 100% et à une interdiction d’accès au marché américain. Visiblement embarrassé, le général Chengriha n’a d’autre choix que de demander pardon au nouveau locataire de la Maison Blanche.
L’œil de Gueddar. Plus que jamais, c’est l’armée qui a un pays en Algérie
Algérie: le chef d’état-major de l’armée s’incruste au sein du gouvernement
Le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, a procédé lundi 18 novembre à un remaniement ministériel, marqué par l’entrée du chef d’état-major de l’armée, le général Said Chengriha, au gouvernement en tant que ministre délégué auprès du ministre de la Défense. Ce poste n’est pas nouveau, puisqu’il avait été déjà créé sous le second mandat de Bouteflika en 2005, dans le cadre d’un partage du pouvoir entre la présidence algérienne et le commandement militaire. Sous Tebboune, la situation empire car ce sont les pouvoirs politique et économique qui sont en train d’être remis dans leur intégralité à l’armée.
Décennie noire en Algérie: l’implication de l’armée algérienne dans le massacre de Bentalha
Le massacre bouleversant (400 morts) des familles vivant à Bentalha, ce quartier algérois martyrisé en 1997, a été documenté trois ans après dans «Qui a tué à Bentalha?», un livre publié en France par un rescapé. Le livre dénonce l’horreur du système de représailles militaires sur les civils et accuse des généraux –dont certains sont en poste aujourd’hui– d’avoir organisé, à Bentalha, une tuerie de masse.
Algérie: les atrocités des généraux Chengriha, Medjahed, El Djen et Djebbar durant la décennie noire
Avec «Houris» de Kamel Daoud (Prix Goncourt 2024), d’autres ouvrages de grande qualité publiés ces dernières années sur la décennie noire en Algérie (1992-2002) méritent d’être (re)découverts. La guerre civile algérienne, ou «décennie noire», reste un sujet tabou en Algérie, où l’État interdit toute investigation ou témoignage. Des ouvrages comme «La sale guerre» de Habib Souaidia révèlent pourtant l’ampleur des exactions perpétrées par l’armée, avec des figures clés encore en poste aujourd’hui, telles que Chengriha, Medjahed, Djebbar et El Djen, accusés d’avoir orchestré des actes abominables contre les civils.
L’œil de Carlos. La junte appelle à l’aide
Dar Lkabranate. EP-125. Algérie: la junte prête à un bain de sang pour stopper les émeutes dans les stades
Au lendemain des émeutes du 21 septembre dernier dans le nouveau stade de Douera à Alger, lors du match opposant le Mouloudia d’Alger à l’US Monastir, le général Saïd Chengriha a convoqué son état-major pour une énième réunion de crise. Comme on s’y attendait, la junte au pouvoir ne se soucie aucunement de la violence utilisée par les autorités pour réprimer la foule, causant plusieurs morts et de nombreux blessés parmi les supporters. Au contraire, les caporaux réfléchissent déjà aux moyens de durcir la lutte contre les rassemblements, y compris dans les stades.