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Le parti de l’Istiqlal (PI), qui peine à mettre en place son comité exécutif après son dernier congrès, souffre d’inertie au niveau de son appareil organisationnel. Ce qui a poussé des voix istiqlaliennes à monter au créneau pour imputer la responsabilité de cet état de fait au secrétaire général du parti, Nizar Baraka, rapporte le quotidien Assabah, dont est tirée cette revue de presse.

Dirigeants de premier plan au Parti de la justice et du développement (PJD, opposition), Driss Al Azami, Mustapha Khalfi et Abdallah Bouanou se portent candidats pour succéder à l’actuel secrétaire général, Abdelilah Benkirane, lors du prochain congrès du parti, en 2025. Les trois prétendants devront toutefois attendre, pour officialiser leur candidature, de voir si l’actuel leader des islamistes se présentera à sa propre succession. Une revue de presse d’Assabah.

L’Istiqlal, parti formant la majorité gouvernementale, s’apprête à entériner son nouveau comité exécutif (bureau politique) lors d’une réunion de son Conseil national, prévue fin septembre, selon un éminent cadre du parti, Mohamed Zidouh.

Le Parti de l’Istiqlal (PI, coalition gouvernementale) se dirige vers la tenue d’une session de son Conseil national. Prévue en septembre prochain, elle permettra de valider la composition de son comité exécutif, afin de mettre un terme au blocage qui épuise le parti dirigé par Nizar Baraka, secrétaire général pour un second mandat. Une revue de presse d’Assabah.

Quatre mois après la tenue du huitième congrès du parti de l’Istiqlal, son secrétaire général, Nizar Baraka, peine à former son comité exécutif, faute d’un consensus entre les factions rivales. Une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.

Deux mois après le 18ème Congrès de l’Istiqlal (majorité), le secrétaire général reconduit, Nizar Baraka, n’a toujours pas formé son comité exécutif de 34 membres pour la simple raison qu’il s’est donné le temps nécessaire pour sélectionner un commandement qui soit «efficace et propre».

Le secrétaire général de l’Istiqlal a habilement manœuvré pour tailler un comité exécutif à sa mesure. C’est ainsi que des dizaines de cadres ont retiré leurs candidatures à la direction du parti parmi lesquels se trouvent des dirigeants proches du courant rival d’Ould Errachid. Cet article est une revue de presse tirée d’Assabah.

La voie semble toute tracée à Abdelilah Benkirane pour qu’il rempile à nouveau en tant que secrétaire général du Parti de la justice et du développement (PJD, opposition), après l’annonce du retrait du clan de Saâd-Eddine El Othmani de leur course à ce scrutin. Une revue de presse d’Assabah.

Avalisé par le Département d’État US il y a plus de trois ans, l’achat par le Maroc des drones militaires ultra-sophistiqués SeaGuardian sera prochainement étudié par le Congrès américain.