La publication du rapport annuel de l’Instance nationale de la probité, de la prévention et de la lutte contre la corruption (INPPLC) a provoqué une polémique entre le président de cette instance, Mohamed Bachir Rachdi, et le porte-parole du gouvernement, Mustapha Baytas. Répondant aux propos de Rachdi accusant le gouvernement «d’inertie dans ce domaine», le ministre a indiqué que si l’INPPLC «détient des données sur des dossiers dénonçant des cas de corruption, elle n’a qu’à les déférer devant la justice». Une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.