Tous les articles correspondant à #couverture médicale

Protection sociale: l’État a déployé 34,5 milliards de dirhams en 2024
En 2024, l’État marocain a consacré un budget de 34,5 milliards de dirhams à la couverture médicale et à l’aide directe aux démunis, dont 9,5 milliards dirhams pour intégrer les anciens du régime de l’AMO au nouveau système.
Remboursement des frais de santé: les raisons du retard
La ministre de l’Economie et des Finances, Nadia Fettah Alaoui, a expliqué le retard dans le remboursement des frais de santé par le processus de numérisation des services qui prend du temps. Cet article est une revue de presse tirée de Challenge.
25 ans de règne. Un remarquable bilan dans le développement des infrastructures de santé et l’amélioration de l’accès aux soins
25 ans de règne - Ep 20 | Depuis son accession au trône, le roi Mohammed VI a engagé le Royaume du Maroc dans une voie accélérée de transformation dans divers domaines, dont ceux de la santé et de la protection sociale. Au cours de ces 25 dernières années de règne, le pays a connu un réel développement des infrastructures de santé, un accès accru aux services de santé et un renforcement des politiques de protection sociale.
25 ans de règne. Généralisation de la protection sociale: une révolution royale en marche
25 ans de règne - Ep 9 | Le discours du roi Mohammed VI, à l’occasion de l’ouverture de la session législative du 9 octobre 2020, a marqué un tournant dans le déploiement de l’approche royale visant l’édification de l’État social au Maroc. Ce projet, qui a pour objectif d’étendre la protection sociale à tous les citoyens d’ici 2025, est qualifié de réforme sociétale d’une portée exceptionnelle et a été salué par des institutions internationales comme la Banque mondiale, le Fonds monétaire international et l’Organisation internationale du travail.
Assurances et prévoyance sociale: l’ACAPS place le curseur sur la protection des consommateurs et la réduction des gaps de couverture
L’Autorité de contrôle des assurances et de la prévoyance sociale (ACAPS), qui vient de se doter d’une nouvelle stratégie, mettra l’accent davantage sur la protection des consommateurs et le rattrapage du retard observé dans la couverture d’assurance. Explications avec Abderrahim Chaffai, président de l’ACAPS, qui prévoit de mener une multitude d’actions pour la mise en œuvre de ce plan stratégique 2024-2026.
Assurance maladie: le basculement vers l’AMO suscite de grandes inquiétudes chez les professionnels
Le basculement vers l’AMO, qui ne doit plus tarder, tourmente les professionnels du secteur des assurances. Les deux fédérations des assureurs et des intermédiaires ont profité de la 8ème rencontre annuelle de la FNACAM pour faire part de leurs appréhensions et de leurs propositions pour limiter les répercussions de cette mutation.
Couverture médicale: la CNOPS simplifie la procédure de réception des dossiers des affections de longue durée et coûteuses
La Caisse nationale des organismes de prévoyance sociale (CNOPS) a annoncé, ce jeudi 18 janvier, l’exemption de ses assurés de l’obligation de produire, lors du dépôt de leurs dossiers de remboursement chez les mutuelles, une copie de l’accord d’éxonération du ticket modérateur (ETM) attestant qu’ils sont, eux ou leurs ayants droit, atteints d’une affection de longue durée et coûteuse (ALD/ALC).
Assurance maladie obligatoire: c’est parti pour l’inscription à l’«AMO Achamil»
L’inscription est ouverte à l’assurance maladie obligatoire «Achamil», destinée aux personnes n’exerçant aucune activité rémunérée ou non rémunérée et capables de s’acquitter des cotisations à l’AMO.
Couverture sanitaire universelle en RDC: le président Tshisekedi lance la gratuité des soins de maternité
C’est l’hôpital militaire du camp Tshatshi dans la ville de Kinshasa qui a servi de cadre à la cérémonie de lancement de la (CSU) dont la gratuité de la maternité est le point focal.
Couples infertiles au Maroc: en quête d’une couverture médicale globale
Les personnes qui souffrent d’infertilité au Maroc souhaitent une prise en charge complète de leur traitement dont le prix varie entre 30.000 et 50.000 dirhams. Pour eux, le remboursement de certains médicaments est, certes, louable mais insuffisant.