Tous les articles correspondant à #droit international

Sous les décombres de Gaza, les morts… et la plage?
Sidérant la communauté internationale en proposant de transformer la bande de Gaza en station balnéaire, le président Trump teste indirectement l’Europe là où elle ne l’attendait pas: sur le terrain des droits fondamentaux plutôt que des droits de douane.
Maroc-États-Unis: c’est arrivé un 25 janvier…
Le 25 janvier 1787 est la date de la signature du Traité de paix et d’amitié maroco-américain, toujours en vigueur, considéré comme le plus ancien jamais signé par les États-Unis avec un pays tiers.
L’affaire du Sahara expliquée par un expert japonais
Lors d’une présentation à Rabat, Shoji Matsumoto, spécialiste japonais du droit international, a dévoilé une étude approfondie du conflit du Sahara. Grâce à des arguments juridiques, il y déconstruit l’idée d’une autodétermination telle que proposée par l’Algérie et réfute l’existence d’une république fantoche dans les territoires contestés. Cet article est tiré d’une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.
Israël, Liban, Iran: des conflits armés?
Depuis l’attaque du Hamas il y a un an et la riposte israélienne qui a ravagé Gaza, la création de nouveaux fronts, spécialement au Liban et avec l’Iran, menace d’embraser la région. Le droit international fournit-il ici un éclairage utile?
La question du Sahara dit «Occidental» ou «l’escroquerie du siècle»
Comment en effet ne pas parler d’«escroquerie» en analysant ce conflit, dernier avatar de la période de la Guerre froide, qui fut créé à l’époque par l’Algérie, soutenue par le bloc communiste, afin de déstabiliser la région et tenter d’affaiblir le Maroc?
La Cour de Justice de l’UE: quand la créature échappe à son créateur
Les décisions rendues par la CJUE sur les accords commerciaux Maroc-UE mettent en lumière un organe méconnu des pays tiers, pur produit d’une Europe qui s’est construite contre la démocratie et contre la politique, une oligarchie de juges et de fonctionnaires qui échappent à des décideurs européens frappés par le complexe de Frankenstein.
Les lamentations de «l’énergumène diplomatique» algérien suite à la décision de la CJUE sur les accords Maroc-UE
Alors qu’elle croyait avoir remporté une victoire diplomatique, suite à la décision de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) relative aux accords Maroc-UE sur la pêche et l’agriculture, l’Algérie a rapidement déchanté après le rejet immédiat et quasi unanime de cette décision par les pays et institutions mêmes de l’UE. Dans un discours prononcé mardi, Ahmed Attaf, chef de la diplomatie algérienne, s’est attaqué aux pays de l’UE, auxquels il reproche de s’en tenir fermement à leur partenariat stratégique avec le Maroc, au détriment de la première cause nationale en Algérie: le Sahara atlantique.
Le Conseil de sécurité de l’ONU et le terrorisme international
Difficile d’évacuer le fait que l’ONU, comme système de sécurité collectif, est au cœur de la lutte contre le terrorisme international. Nombreuses sont en effet les résolutions adoptées par le Conseil de sécurité, cheville ouvrière dans ce dispositif, qui ont visé tant à la prévention et à la répression de ce fléau. Elles ont également encouragé la coopération entre les États. Mais le bilan fait débat…
Une vieille ficelle aux relents coloniaux: la conformité au droit international
En donnant la parole à une nostalgique d’un droit international aux relents coloniaux, chercheuse de son état, pour faire la leçon à la diplomatie française sur la question du Sahara, le quotidien français «Le Monde», fidèle à son tropisme algérien, hérité d’un penchant tiers-mondiste dépassé, a confirmé son incapacité à évoluer dans ses idées et ses choix.
État palestinien: revisiter la reconnaissance
En droit international, l’existence d’un État s’établit indépendamment de sa reconnaissance par d’autres. Les éléments constitutifs de l’État renvoient à un territoire, à une population et à un gouvernement souverain, juridiquement indépendant donc de toute autre autorité supérieure. Et dans le cas de la Palestine, ces éléments sont bel et bien présents et réunis.