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Suite aux récentes précipitations, six barrages marocains ont atteint un taux de remplissage de 100%, selon des données du ministère de l’Équipement et de l’Eau publiées le 23 mars 2025. Cette amélioration notable de la situation hydrique concerne plusieurs régions du pays, dont le Nord, l’Oriental et Fès-Meknès.

La source de Ras El Ma, emblème naturel de Chefchaouen, avait cessé de couler en raison d’une sécheresse prolongée. Depuis quelques jours, les pluies enregistrées dans la région ont permis à l’eau de réapparaître, mettant fin à un épisode qui avait marqué les esprits.

L’élevage au Maroc traverse une crise majeure due à la sécheresse et à la raréfaction des ressources, entraînant une chute de 38% du cheptel entre 2016 et 2024, ainsi qu’une flambée des prix de la viande rouge. Des mesures de soutien ont été mises en place pour aider les éleveurs et protéger la filière. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Economiste.

Les professionnels des hammams, à Rabat, réclament leur réouverture après les récentes pluies ayant amélioré les ressources en eau, alors que la fermeture reste en vigueur uniquement dans cette ville. Ils dénoncent des pertes financières et des menaces d’expulsion, appelant le wali à intervenir. Cette fermeture fait suite à une circulaire du ministère de l’Intérieur, visant à gérer la pénurie d’eau. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Al Akhbar.

Au cœur des montagnes du Rif, dans la province de Chefchaouen, un spectacle inattendu s’est récemment offert aux habitants et aux visiteurs. Après près de vingt ans d’assèchement, le lac Bir Sudan a retrouvé son éclat. Sous l’effet des récentes précipitations, l’eau a envahi le bassin aride, tandis que les neiges épaisses ont métamorphosé le paysage en un décor d’hiver saisissant, aux portes du printemps.

Les ministres de l’Agriculture et de l’Équipement se disputent la paternité du projet d’interconnexion hydrique entre les barrages de Oued El Makhazine et Dar Khrofa. Une polémique s’en est suivie et s’est étendue au Parlement. Une revue de presse tirée du quotidien Assabah.

La campagne agricole 2024/2025 risque d’être très mauvaise s’il ne pleut pas dans les prochaines semaines, indique Rachid Benali, président de la Confédération marocaine de l’agriculture et du développement rural. Le constat, pour le moins alarmant, vaut autant pour les céréales et les cultures printanières que pour l’arboriculture et l’élevage.

Dans une récente étude sur la situation hydrique au Maroc, le Centre africain des études stratégiques et de la digitalisation appelle à «prioriser l’équité hydrique entre les régions», en lançant un programme dédié, fondé sur des technologies intelligentes. Une revue de presse tirée du quotidien Al Ahdath Al Maghribia.