Tous les articles correspondant à #fleuve

Un 2e pont relie désormais Cameroun et Tchad: Bongor, l’ouvrage d’art qui sculpte l’avenir
Plus de 80% des importations tchadiennes transitant par les ports camerounais, le pont de Bongor nouvellement mis en service sur le fleuve Logone facilitera la circulation des biens et des personnes entre les deux pays, séparés par deux principaux cours d’eau. L’ouvrage d’art met un terme à des décennies de traversées périlleuses.
Borj Saâdiyine, le point de ralliement estival sur la corniche de Larache
Alors que les températures grimpent dans tout le Maroc, la ville de Larache attire chaque jour des centaines de vacanciers venus chercher un peu de fraîcheur au bord de l’Atlantique. Faute d’infrastructures de transport adéquates, la corniche, située en contrebas du célèbre fort historique Borj Saâdiyine, devient le point de rendez-vous incontournable des familles locales et des visiteurs des environs.
Inondations en Mauritanie: des élus évaluent l’intervention du gouvernement à la veille de la visite de Ghazouani à Kaédi
Les régions situées dans la vallée du fleuve Sénégal ont enregistré de terribles inondations qui ont chassé de leurs habitations plusieurs centaines de familles et causé de nombreuses pertes matérielles. A la veille de la visite du président de la République à Kaédi, des élus donnent un aperçu de l’intervention de l’État au profit des populations sinistrées.
Mauritanie: inondations, immense détresse dans la vallée du fleuve Sénégal
À la suite de pluies abondantes dans les pays de la sous-région et du lâcher d’eau depuis le barrage de Manantali (ouvrage commun aux États de l’OMVS), des dizaines de milliers de personnes vivant dans les localités de la vallée du fleuve Sénégal, sur une étendue de 700 kilomètres, subissent un désastre majeur causé par les inondations. Du côté mauritanien du fleuve, quatre régions sont touchées : Guidimakha, Gorgol, Brakna et Trarza.
Ramadan à Bamako: pas de répit pour les blanchisseurs du fleuve Djoliba
Les blanchisseurs itinérants parcourent les quartiers de Bamako à la recherche de matelas, de tapis et de vêtements qu’ils lavent ensuite dans les eaux du fleuve. Et pendant le ramadan, leur activité ne connaît pas de répit.