Tous les articles correspondant à #France-Algérie

Le «Système» algérien interdit toute remise en cause de la fausse histoire écrite par les profiteurs de l’indépendance
En Algérie, il est impossible de réviser une histoire devenue dogme, et toute remise en question conduit directement à la case prison. D’où encore l’impossibilité d’écrire une histoire scientifique de l’Algérie. On comprend donc pourquoi le «travail de mémoire commun» si cher à Emmanuel Macron n’était qu’une farce aux yeux d’Alger.
Marocanité du Sahara oriental: retour sur les négociations franco-marocaines (1956-1962)
L’Algérie, longtemps portée dans le cœur des révolutionnaires postcoloniaux du monde entier, s’affirme aujourd’hui comme une puissance néocoloniale. Alger a bénéficié de deux incongruités juridiques qui ont servi son prurit hégémonique au lendemain de son indépendance. Ces deux incohérences sont réunies dans le dossier frontalier constitué par la France entre 1956 et 1962.
Merci, M. Tebboune, d’être aussi…
Finalement, Macron en a eu assez. Ne gagnant rien à faire la cour à ces brèles, il a changé radicalement d’optique et a choisi le Maroc.
Xavier Driencourt au Maroc pour présenter son best-seller «L’énigme algérienne»
À l’occasion de l’édition en format poche de son livre «L’énigme algérienne. Chroniques d’une ambassade à Alger», Xavier Driencourt animera quatre conférences au Maroc, respectivement à Casablanca, Fès, Tanger et Marrakech, du 1er au 8 novembre. Dans ce livre choc, l’ancien ambassadeur de France à Alger dresse un portrait au vitriol de l’Algérie contemporaine et du «Système» militaire qui la dirige d’une main de fer.
Le grand reporter Renaud Girard rappelle à l’Algérie que le Sahara dont elle dispose était marocain avant que la France ne le lui donne
Le 6 octobre, sur le plateau de l’émission «Face à Margot Haddad» diffusée sur LCI, Renaud Girard, reporter de guerre pour le Figaro depuis 1984 et géopolitiste spécialisé en relations internationales, est intervenu dans le cadre d’un débat sur la glaciation des rapports entre la France et l’Algérie, avec pour (vrai) enjeu, le Sahara atlantique.
La «jacobinisation» de l’Algérie
Le régime civil républicain succéda donc au régime militaire. Son jacobinisme, le mépris qu’il afficha pour les populations indigènes et son laïcisme, qui fit passer ses représentants pour des mécréants aux yeux des musulmans, exercèrent des ravages et provoquèrent un traumatisme que l’Algérie française ne surmonta jamais.
Napoléon III et l’Algérie
Napoléon III pensa à doter d’Algérie d’une Constitution qui aurait conduit à la création d’un État algérien lié à la France par l’union à travers sa personne, comme l’Autriche-Hongrie et la Grande-Bretagne et le Canada.
«Ne pas algérianiser le Maroc»
L’Algérie fut assimilée à la France métropolitaine, dont elle constitua trois départements. Différente fut la politique suivie au Maroc par Hubert Lyautey. Respectueux des institutions et des autorités marocaines, il se qualifiait même de «premier serviteur du Sultan».
Le démembrement du Sahara «oriental» tel que documenté par le «Bulletin du Comité de l’Afrique française» en 1892
Le bulletin mensuel publié par le Comité de l’Afrique française, un lobby en activité à Paris et dans le gouvernement algérien, pousse tous azimuts à la pénétration des régions sahariennes orientales du Maroc et dans l’ensemble de l’Afrique noire. L’année 1892, appréhendée dans cette chronique, condense plusieurs succès diplomatiques du Maroc qui conserve pour l’heure son autorité dans la grande région du Touat. Selon l’agence Havas rapportée dans le bulletin, «le Sultan du Maroc aurait définitivement réussi à installer ses caïds au Touât, au Gourara et au Tidikelt».
Que penser des menaces de «représailles» algériennes contre la France après la reconnaissance par Paris de la marocanité du Sahara?
L’Algérie menace de représailles la France après la reconnaissance par le président Macron de la souveraineté du Maroc sur le Sahara. Mais si «représailles» il devait hélas y avoir, ce serait plutôt dans l’autre sens qu’elles pourraient s’exercer. Et voici pourquoi.