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Le gombo, légume indispensable à de nombreuses recettes traditionnelles, n’échappe pas à la folie des prix qui s’empare des produits de large consommation pendant le mois de ramadan. Cette inflation prive beaucoup de Guinéens de cet ingrédient à la texture si particulière que l’on retrouve dans certains plats emblématiques du pays.

Au premier vendredi du mois sacré du Ramadan, la mosquée Mohammed VI de Conakry, d’une capacité d’accueil de plus de 3.000 fidèles, s’est avérée trop exiguë pour contenir le nombre impressionnant de musulmans qui ont répondu à l’appel du muezzin pour y accomplir l’un des cinq piliers de l’islam. Et c’est dans cette mosquée que régulièrement des Guinéens se convertissent à l’islam.

La route nationale à Kagbélen reliant la capitale à l’intérieur du pays est devenue impraticable en raison de son état de délabrement avancé. En cette saison sèche, la poussière est tellement dense, que des usagers sont obligés de porter un masque protecteur. Quant aux travaux, ils sont remis aux calendes grecques.

Le Nimba Riders Club est une association de motards qui n’hésitent pas à enfourcher leurs montures en acier, avaler des kilomètres de bitume et respirer à pleins poumons cet air de liberté qu’offrent les magnifiques paysages. A moto, ils contribuent à faire connaître les majestueuses montagnes du Fouta Djallon, le plus célèbre des écrivains du pays, les plages au sable vermeil, les différentes forêts... de leurs propres deniers.

Avec l’arrivée du mois sacré du Ramadan, de nombreux produits essentiels deviennent soit rares, soit inaccessibles. La pomme de terre, en particulier, voit son prix flamber.

Ramadan approche et Conakry se prépare à accueillir cette période de jeûne et de prière pour les fidèles musulmans. Les autorités, notamment le ministère du Commerce, de l’Industrie et des PME mettent en place des mesures pour garantir l’approvisionnement stable du pays en denrées alimentaires et à des prix abordables.

Les autorités poursuivent la fermeture des cliniques non agréées, souvent dirigées par des praticiens non qualifiés. Tout en ne remettant pas en cause le bienfondé d’une telle démarche, les praticiens demandent au ministère de la Santé de prendre en considération l’équilibre nécessaire entre la préservation des emplois et l’accès aux soins d’urgence. L’OMS a récemment regretté la régression du nombre des infrastructures de santé en Guinée.

Les acteurs du paiement électronique traversent une période particulièrement difficile. En effet, certaines sociétés ont pris la décision unilatérale de réduire de manière significative les commissions allouées aux détaillants.

Retour sur la Foire technologique de Guinée, un événement qui a rassemblé des acteurs de l’industrie technologique, des entrepreneurs, des experts et des passionnés d’innovation venus de toute l’Afrique de l’Ouest.