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Jihadiste repenti et ancien compagnon d’armes d’Ali Aarrass, un Belgo-marocain condamné au Maroc pour terrorisme et libéré en 2020, Abderrazak Soumah réagit à un livre «truffé de contre-vérités» que vient de publier celui qui se dit désormais «défenseur des droits de l’Homme». Le passé terroriste d’Aarass, ses mensonges à répétition pour se refaire une virginité, les armes qu’il cache encore aujourd’hui… voici, point par point, les révélations explosives d’Abderrazak Soumah.

Un Marocain naturalisé italien a été arrêté, mardi 28 mai, par la police italienne pour terrorisme et liens présumés avec l’organisation terroriste Daech.

Milieu naturellement ouvert, le Sahel est aujourd’hui cloisonné par des frontières artificielles, véritables pièges à peuples, dont le tracé ne tient pas compte des grandes zones de transhumance autour desquelles s’est écrite son histoire.

Le groupe terroriste État islamique (Daech) a annoncé la mort de son chef, Abou al-Hussein al-Husseini al-Qourachi, tué dans des affrontements avec Hayat Tahrir al-Cham, groupe jihadiste royal et ancienne branche locale d’Al-Qaïda.

Ces hommes et femmes qui luttent contre le terrorisme devraient avoir notre respect et notre admiration. On ne le dit pas assez. Ils sont formidables. Merci d’être si vigilants et si efficaces. Grâce à eux et à leur chef, le Maroc vit en paix et garantit au politique une stabilité essentielle.

Au Sahel, le jihad, qui a pour but la fondation d’un califat trans-ethnique, a buté sur la réalité ethnique car les énormes fossés séparant les protagonistes ont jusqu’à présent empêché l’engerbage. Le jihadisme régional se trouve donc pris au piège des rivalités ethno-centrées qui constituent la vraie réalité sociologique régionale.

Pourquoi le Maroc continue-t-il à être visé et priorisé dans la région comme cible? Pour plusieurs raisons liées entre elles. La première a trait au rôle pivot, leader même, du Royaume dans la lutte antiterroriste.