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Selon le chercheur Ahmed Assid, le débat lancé récemment sur la laïcité est sain et salvateur. Il permet de libérer les esprits et de construire une citoyenneté respectueuse de l’autre et de sa différence. Une revue de presse de l’hebdomadaire Al Ayyam.

Ahmed Toufiq, ministre des Affaires religieuses marocain: « Au Maroc, nous sommes laïques!». Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur français: «Ah! Vraiment?».

Comme on pouvait s’y attendre, les récentes déclarations du ministre des Affaires islamiques et des Habous, Ahmed Toufiq, sur la laïcité au Maroc, ont été du pain béni pour les populistes et autres obscurantistes, qui ont noyé les réseaux sociaux de propos insultants à son encontre. Abdellatif Ouahbi, ministre de la Justice, a tapé du poing sur la table au Parlement pour défendre son collègue du gouvernement contre ce qu’il a assimilé à une «meute enragée». Les détails dans cette revue de presse tirée du quotidien Assabah.

Après les propos qu’il a tenus devant les députés de la première chambre sur la laïcité des Marocains, le ministre des Habous et des affaires islamiques a fait l’objet d’une série d’attaques, notamment sur les réseaux sociaux. Il revient sur la question devant les conseillers. Une revue de presse du quotidien Assabah.

C’est une bombe que vient de lâcher le ministre des Habous et des Affaires islamiques, Ahmed Toufiq, en pleine séance de questions orales adressées à certains membres du gouvernement, lundi dernier, par les députés de la majorité et de l’opposition. «Nous sommes un État laïc», a-t-il ouvertement affirmé, devant une Chambre mi-médusée, mi-amusée. Les explications dans cette revue de presse tirée du quotidien Assabah.

Au Sénégal, la valeur de l’enseignement privé catholique n’est plus à prouver. Une éducation de qualité que reconnaissent mêmes les parents d’élèves musulmans. Toutefois, certaines règlementations imposées par certains de ces établissements, comme le port du voile dérangent. La sortie du Premier ministre Ousmane Sonko sur la question a ravivé le débat.

Faisant suite à la décision du gouvernement français d’interdire le port de l’abaya dans les établissements scolaires, des écoles françaises présentes au Maroc l’ont appliquée. Au grand dam des parents d’élèves qui sollicitent l’intervention du ministre de tutelle. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Al Akhbar.

Et si d’aventure, ces jeunes filles décidaient de porter une abaya griffée? Que retiendrait-on in fine? La marque de luxe qu’elles arborent ou la pseudo-connotation religieuse de l’habit?