Relégué derrière Maurice dans le dernier classement GFCI, le Maroc voit sa position de première place financière africaine remise en question. Mais au-delà de ce recul symbolique, un rapport de l’OCDE souligne les fondations solides du Royaume tout en pointant les chantiers structurels à accélérer: liquidité des marchés, diversification des investisseurs, intégration régionale et financement de la transition climatique. Un moment charnière pour Casablanca, appelée à transformer cette alerte en catalyseur de réformes. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Les Inspirations Éco.