Tous les articles correspondant à #ovins

Dans une question écrite adressée au ministre de l’Agriculture, la députée PPS Nadia Touhami a mis en garde contre une maladie touchant des ovins dans la région d’Al Haouz. Le360 apprend que le diagnostic établi par les autorités vétérinaires a exclu l’hypothèse d’une maladie contagieuse.

L’importation de la viande fraîche prête à la consommation semble porter ses fruits. Un léger recul des prix a été observé sur le marché. La pression sur les prix s’atténuera davantage à l’avenir. Quant à la qualité, les opérateurs rassurent. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Les Inspirations Éco.

Le ministère de l’Agriculture procédera dans les prochains jours au recensement du cheptel national. Cette opération permettra au gouvernement de collecter des données précises sur la taille du troupeau national et d’étudier l’évolution des races locales. Une revue de presse tirée d’Al Ahdath Al Maghribia.

L’État prendra en charge la TVA à l’importation de bovins, d’ovins, de viandes et d’abats de l’espèce bovine, ovine et caprine. La mesure, qui a pris effet le 19 octobre, s’applique dans la limite de 120.000 têtes de bovins, 100.000 têtes d’ovins et de 20.000 tonnes de viandes rouges.

Mohammed Sadiki, ministre de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et forêts, a présidé mardi à Rabat deux réunions , respectivement avec les interprofessions de la filière viandes rouges et de la filière lait, afin de discuter des mesures à prendre pour maintenir l’équilibre de ces filières et renforcer la souveraineté alimentaire dans un contexte difficile de sécheresse.

Il n’existe pas de groupes de pression qui mineraient la filière de l’importation d’ovins et de bovins, a martelé ce lundi 22 juillet 2024, le ministre de l’Agriculture, de la Pêche maritime et des Eaux et forêts, Mohammed Sadiki, devant le Parlement. Pour lui, seule la sécheresse est responsable de la flambée actuelle des prix des viandes rouges.

La gestion de l’approvisionnement et de la vente des moutons destinés au sacrifice de l’Aïd Al Adha est vivement critiquée en raison des prix exorbitants pratiqués sur les marchés locaux. Cet article est une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.

À l’approche de Aïd Al-Adha, les marchés casablancais aux bestiaux grouillent de vie. Pourtant, une hausse notable des prix des moutons perturbe les préparatifs des acheteurs. Entre quête de la meilleure offre et résignation face à la réalité économique, chacun tente de s’adapter. Témoignages.

Tout commence par diffuser et entretenir l’idée que «les moutons sont chers cette année». La suite est simple, les engraisseurs et les éleveurs fixent un prix entendu, les intermédiaires se chargent du reste. Une revue de presse du quotidien Assabah.