Tous les articles correspondant à #Peine de mort

Là, nous sommes loin, très loin, de cette bande de trafiquants se disant «influenceurs», qui se font de l’argent en vendant du vent et se prenant pour des stars à travers les réseaux sociaux. Alors qu’au fond, leur activité est une sorte à peine déguisée de prostitution.

Le Maroc a voté pour un moratoire universel sur la peine de mort, lors de l’Assemblée générale des Nations unies, le 15 décembre courant. Un vote qui reflète la réalité nationale: la peine capitale reste dans la législation marocaine, mais elle sera l’objet d’un moratoire. Une «troisième voie» entre le maintien et l’abolition, tant le sujet divise la société marocaine pour des raisons morales, culturelles ou religieuses.

J’ai revu cette semaine l’excellent film oscarisé «La vie des autres», du cinéaste allemand Florian Henckel. Ce qui arrive aujourd’hui à notre ami Boualem Sansal est de cet ordre de cruauté.

Le Maroc vote pour un moratoire universel à l’ONU sur la peine de mort; Marrakech: des hôtels fermés par la Wilaya pour non-respect des lois; À Casablanca, des Syriens fêtent la chute du régime d’al-Assad; People: «l’influenceur» Weld Chinwiya condamné à trois ans de prison ferme. Round-up.

Le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) a accueilli avec satisfaction la décision historique du Maroc de souscrire, le 15 décembre 2024 à New York, à la résolution des Nations unies portant sur le moratoire universel de la peine de mort. Cette initiative marque une avancée significative dans l’engagement du Royaume en faveur des droits humains et de la justice.

Un changement majeur dans la position du Maroc à l’égard de la peine de mort. Le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, a annoncé que le Royaume entend, pour la première fois, voter en faveur de la dixième résolution des Nations unies relative à un moratoire sur l’application de la peine de mort, qui sera examinée dans les jours qui viennent lors de la prochaine Assemblée générale des Nations unies. Jusqu’ici, le Maroc s’est abstenu de voter concernant les neuf résolutions précédentes.

Le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) déplore le fait que les tribunaux marocains continuent de prononcer des sentences de mort, a fait savoir la présidente Amina Bouayach, lors de la présentation du rapport 2022 de cette institution, mercredi 10 mai à Rabat.

Le Maroc a refusé de prendre des mesures immédiates pour abolir la peine de mort comme le lui a recommandé le Conseil des droits de l’homme (CDH) soulignant que cette question fait l’objet d’un débat national. Cet article est une revue de presse du quotidien Al Ahdath Al Maghribia.

Un détenu pour terrorisme s’est donné la mort, ce mercredi 1er mars à Fès. C’est le deuxième suicide du genre en l’espace de deux jours.