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La pénurie de certains médicaments, loin de s’estomper, demeure un problème préoccupant. Observée à l’échelle nationale, cette rupture d’approvisionnement concerne une large gamme de médicaments, y compris des produits vitaux pour les patients. Mohamed Salami, vice-président du bureau national de l’association Monde des pharmaciens marocains, et Layla Laassel Sentissi, directrice de la Fédération marocaine de l’industrie et de l’innovation pharmaceutique, détaillent pour Le360 cette pénurie. Ils proposent également plusieurs pistes de solutions pour remédier à cette situation critique.

Afin de faire face au phénomène en recrudescence de la vente illégale de médicaments sur Internet, la Confédération des syndicats des pharmaciens du Maroc (CSPM) propose la mise en place d’un portail dédié au signalement des contenus illicites et une coordination accrue avec les autorités en charge de la lutte contre la cybercriminalité.

La problématique de la pénurie de certains médicaments, notamment ceux prescrits pour les maladies cardiovasculaires et certains types de cancers, est de nouveau soulevée sur le marché marocain. Les pharmaciens alertent l’opinion publique, et le ministre de tutelle a été interpellé au Parlement. Les détails dans cette revue de presse tirée du quotidien Al Akhbar.

Sur la base de plaintes formulées par les organisations représentatives des pharmaciens, les autorités mènent actuellement des enquêtes sur les sources d’approvisionnement de réseaux de commerce sur Internet de médicaments et de compléments alimentaires. Une pratique interdite par la législation, et exercée par des personnes n’ayant pas qualité à prescrire ou à vendre des produits dont la vente est encadrée. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Assabah.

Un arrêté du ministère de la Santé autorise les pharmaciens à réaliser en officine cinq tests rapides d’orientation diagnostique (TROD) qui étaient jusque-là pratiqués dans les laboratoires sur prescription médicale. Deux pharmaciens, interrogés par Le360, décryptent les avantages de cette décision pour les patients.

La Fédération des syndicats des pharmaciens du Maroc vient de s’adresser au ministère de la Santé pour s’insurger contre la distribution gratuite, par un laboratoire pharmaceutique, de certains médicaments psychotropes auprès de médecins. Une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.

Dans une lettre adressée au ministre de la Santé et de la Protection sociale, la Confédération des syndicats des pharmaciens du Maroc (CSPM) demande une action urgente pour stopper la distribution gratuite aléatoire par certains laboratoires d’échantillons contenant des substances psychotropes ou stupéfiantes.

Pour assurer l’approvisionnement en médicaments dans les 3.000 centres hospitaliers publics, dont 80 grands hôpitaux du Royaume du Maroc, l’État consacre «un budget annuel de deux milliards de dirhams», a déclaré Aziz Mrabti, directeur général de la Direction du médicament et de la pharmacie (DMP) lors de l’émission Grand Format-Le360.

Une nouvelle baisse de prix a été actée pour 29 médicaments, allant jusqu’à 2.699 dirhams. Dans la liste, publiée au dernier Bulletin officiel, figurent surtout des médicaments pour le traitement de l’hypertension artérielle.