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Les équipes de secours sont toujours à pied d’œuvre dans les régions du Centre-Est et de l’Oriental, afin de prêter assistance aux familles sinistrées à la suite des crues et inondations qu’ont connues ces zones. Des distributions d’aides et de rations alimentaires ont été mises en place à Figuig, alors que les opérations de recherche des personnes disparues et de déblayage des décombres se sont intensifiées à Tata.

Suite aux pluies diluviennes qui se sont abattues sur 17 préfectures et provinces du Royaume et aux crues qui en ont découlé, le ministère de l’Intérieur fait état de 18 personnes décédées. Quatre autres personnes sont toujours portées disparues à Tata. Le bilan est provisoire.

Depuis le vendredi 6 septembre, le centre-est du Maroc fait face à de fortes averses orageuses, engendrant des crues de cours d’eau et des inondations dans plusieurs localités. Voici ce qui explique un tel phénomène, selon la Direction générale de la météorologie (DGM).

Dans les endroits du sud du Royaume touchés par les fortes pluies du week-end écoulé, les autorités locales ont été contraintes de se mobiliser, y compris des nuits entières, pour parer aux conséquences de ces inondations dues aux changements climatiques, afin d’éviter un drame humain aux conséquences plus graves. Une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.

Selon un premier bilan des autorités, quatre personnes sont mortes et quatorze autres sont portées disparues dans le douar d’Aoukerda relevant de la commune de Tamanart dans la province de Tata, après que des crues dévastatrices ont envahi la région et provoqué l’effondrement de plusieurs maisons.

Quatre personnes sont mortes et quatorze autres sont portées disparues depuis la nuit du samedi au dimanche 7-8 septembre 2024, à la suite de pluies torrentielles ayant touché le douar d’Aoukerda Issmouken, relevant de la commune de Tamanart dans la province de Tata.

Il y a un an, de violentes inondations semaient mort et dévastation à Derna dans l’est de la Libye, dont la rapide reconstruction s’est transformée en mine d’or pour de puissants clans politiques et un moyen d’étendre son emprise sur le pays, selon des experts.

Chaque saison des pluies, qui s’étale généralement de mai à octobre, fait pousser sur les routes des nids-de-poule comme des champignons. En contrepartie de quelques pièces, des jeunes colmatent ces trous et disent ne rien attendre de l’Etat.

A la saison des pluies, la même peur tenaille les habitants de Conakry, celle de voir leurs habitations emportées par la force des flots. Facteur aggravant, certaines maisons sont construites sur le lit des rivières qui sortent de leur lits et mettent également en péril les parcelles potagères.