À Agadir, les contrastes sont frappants: alors que certains quartiers bénéficient de vastes opérations de modernisation et d’embellissement, d’autres sont privés des infrastructures les plus élémentaires. Routes dégradées, manque d’éclairage public, absence de transport ou encore déficit d’équipements sociaux… la capitale du Souss apparaît comme une ville à deux vitesses, au grand dam de ses habitants.