Tous les articles correspondant à #ressources hydriques

Laâyoune. Un investissement de 650 millions de dirhams: le barrage Sakia El Hamra bientôt opérationnel
À proximité de Laâyoune, les travaux de construction du barrage Sakia El Hamra touchent à leur fin. Lancé dans le cadre de la stratégie nationale pour la sécurité hydrique, ce projet de 650 millions de dirhams vise à réguler les eaux de l’oued Sakia El Hamra, répondre aux besoins en eau des populations locales et soutenir les activités économiques face aux effets du changement climatique.
Les travaux du barrage Ribat El Kheir se poursuivent à un rythme soutenu
Sur fond de crise hydrique et de défis climatiques croissants, le chantier du barrage «Ribat El Kheir», dans la province de Sefrou, avance à pas soutenus. Projet stratégique au cœur du plan national pour l’eau potable 2020–2027, il incarne la vision du Maroc pour renforcer sa sécurité hydrique, irriguer ses terres agricoles, prévenir les inondations et amorcer une dynamique territoriale durable.
Hymne à la pluie
Tous les poètes ont chanté la pluie. Tous les paysans aussi. Ils le font avec leurs mots, avec leurs gestes, avec leurs chants, avec leurs prières. Il faut être prudent avec l’eau, ne pas la gaspiller, ne jamais laisser un robinet couler sans raison, penser au jour où nous manquerons de ce bien si précieux, plus important que l’or et tout l’argent du monde.
Zagora: opération coup de poing contre des plants illégaux de pastèques
Une mesure du gouverneur de la ville s’est traduite par la destruction d’un bon nombre de superficies agricoles cultivant illégalement des pastèques, dans un contexte de stress hydrique et de manque criant de ressources en eau. Une revue de presse tirée du quotidien Al Ahdath Al Maghribia.
Projets d’eau abandonnés à Tanger: un fiasco financier de 512 millions de dirhams, un audit réclamé
Deux projets d’infrastructures hydriques n’ont pas vu le jour, à cause de problèmes de gouvernance, mais aussi de la cherté des matières premières et des difficultés d’importation des équipements. Les responsables sont appelés à rendre des comptes. Une revue de presse tirée du quotidien Al Akhbar.
Ce qui freine l’exécution des grands projets pour lutter contre le stress hydrique, selon la Cour des comptes
Dans son rapport annuel au titre de 2023-2024, la Cour des comptes a fait la liste des risques susceptibles de freiner la mise en œuvre des grands chantiers pour lutter contre le stress hydrique.
Province de Sefrou: les travaux de construction du barrage M’dez pratiquement achevés, livraison prévue pour fin octobre
Les travaux de construction du barrage M’dez à Sefrou ont atteint un taux d’achèvement de 99%. Cette importante infrastructure hydrique, qui a mobilisé un budget d’environ 1,6 milliard de dirhams, devrait ainsi inaugurée dans un mois.
Le barrage Fask, le plus grand du Sud marocain, reçoit sa première charge d’eau
Le barrage Fask, situé à 20 kilomètres de la ville de Guelmim et dont les travaux de réalisation ont été achevés fin mars 2024 pour un coût de 1,5 milliard de dirhams, a reçu en quelques heures seulement, plus de 10 millions de mètres cubes d’eau, suite aux précipitations qu’a connues la région la semaine dernière.
Voici combien coûtera le mégaprojet de transfert des eaux du nord vers le barrage El Massira
Le mégaprojet des autoroutes de l’eau venant des bassins du nord vers le barrage El Massira et la région de Chaouia, via la retenue du barrage Sidi Mohamed Ben Abdellah de Rabat, nécessiterait un investissement total de près de 40 milliards de dirhams, a appris Le360 de source informée.
Stress hydrique: l’appui du ministère aux projets d’aménagement hydroagricole n’est pas suffisant, selon l’expert Said Chakri
Le ministère de l’Agriculture a lancé un appel d’offres dont l’objet est l’assistance technique pour l’appui aux projets d’irrigation, de transfert de l’eau entre bassins hydrauliques, de déminéralisation des eaux saumâtres des nappes et de dessalement de l’eau de mer. Said Chakri, expert en environnement et changement climatique que Le360 a fait réagir à ce sujet, indique que la problématique du stress hydrique au Maroc est d’une telle ampleur qu’elle nécessite un traitement beaucoup plus profond.