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Les banques marocaines ont réalisé d’excellentes performances au cours du premier semestre de l’année, matérialisées par l’augmentation de leur résultat net et de leurs fonds propres, ainsi qu’un renforcement de leur niveau de solvabilité. Détails.

La première journée de l’Africa Financial Summit, qui se tient à Casablanca les 9 et 10 décembre 2024, a permis de débattre des défis auxquels est confronté le secteur financier africain. Pour Mohamed El Kettani, PDG du groupe Attijariwafa bank, il est temps de mettre en place un système de paiement intégré en Afrique.

Le système bancaire marocain est «parmi les plus profonds et les plus sophistiqués d’Afrique», selon la Banque européenne d’investissement (BEI). Pour l’institution financière, il présente de bonnes performances, notamment au niveau du financement du secteur privé, du ratio des prêts non productifs et de la rentabilité des banques.

Les flux des transferts des MRE, qui jouent un rôle clé dans l’économie marocaine, risquent d’être fortement freinés par une directive européenne. Pour faire face à cette menace, les autorités marocaines et les banques concernées sont à pied d’œuvre. Elles ont lancé des négociations très étroites avec les différentes parties prenantes dans l’UE, dont un nouveau round sera inauguré dès ce mois d’octobre et s’étalera sur tout le 4ème trimestre 2024. L’enjeu est de taille.

Attijariwafa bank Corporate and Investment Banking a rassemblé plus de 120 participants issus du monde institutionnel, corporate et des grandes entreprises à l’occasion du lancement de son nouveau fonds, le Fonds africain d’efficacité énergétique (FAEE).

L’analyse des perspectives pour le secteur bancaire entre 2024 et 2026 met en évidence une dynamique de croissance soutenue, mais aussi des défis importants à relever. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Les Inspirations Eco.

Le secteur financier se caractérise au Maroc par sa résilience et sa stabilité, au moment où il est confronté dans la région Moyen-Orient Afrique du Nord à des risques élevés dans un contexte de liens étroits entre les banques et les dettes souveraines. C’est ce qu’indique un nouveau rapport de la Banque mondiale, intitulé «Finance and Prosperity 2024».

Les banques marocaines ont enregistré une croissance des bénéfices de 15 à 20% en 2024-2025. La rentabilité globale du secteur a été stimulée par une augmentation des revenus liés au trading, suite à la baisse des taux d’intérêt. Celle-ci pourrait être modérée par le coût du risque toujours élevé prévu en 2024. Cet article est une revue de presse tirée de Finances News Hebdo.

Après des résultats en baisse en 2022, les banques marocaines ont réalisé d’excellentes performances l’année dernière, marquées notamment par une croissance de leurs revenus et des dépôts de la clientèle, ainsi que par le renforcement de leurs fonds propres. Les détails.