Tous les articles correspondant à #stress hydrique

Des réserves en hausse: voici les barrages qui ont le plus profité des dernières pluies
Le taux de remplissage des barrages se chiffre désormais à 37,6%, contre 29,6% deux semaines auparavant. Un gain estimé à 1,35 milliard de m³. Les détails, en chiffres.
Les récentes pluies renforcent les réserves des barrages, Sebou en tête
Suite aux dernières précipitations et chutes de neige récentes, les réserves des barrages marocains ont connu une nette amélioration, atteignant un taux de remplissage de 36,4%. Cette hausse significative, particulièrement visible dans le bassin hydraulique de Sebou, assure un meilleur approvisionnement en eau potable après une période de sécheresse prolongée. De nouveaux projets de barrages sont également en cours pour renforcer la sécurité hydrique du pays.
Les dernières précipitations suffiront-elles à compenser des années de déficit hydrique?
Avec des barrages remplis à 31% grâce aux dernières pluies, le Maroc bénéficie, certes, d’un répit après des années de déficit hydrique. Mais derrière cette embellie se cache une réalité des plus inquiétantes: des apports en eau en chute libre et une exploitation excessive des nappes phréatiques. Décryptage.
Ressources hydriques: Nizar Baraka confirme la situation de pénurie en eau
Le bassin d’Oum Errabia a sans doute été le plus affecté par le stress hydrique. Plusieurs projets ont été menés pour faire face à la pénurie d’eau potable et d’irrigation, dont le dessalement, l’autoroute de l’eau et la construction de nouveaux barrages. Une revue de presse tirée du quotidien Al Ahdath Al Maghribia.
Palmier dattier: les palmeraies traditionnelles durement affectées par la sécheresse, les zones d’extension résilientes
La mise en œuvre du contrat-programme pour le développement de la filière du palmier dattier est fortement impactée par la sécheresse qui sévit au Maroc depuis sept ans. Toutefois, la zone d’extension, reposant sur des exploitations modernes et bien équipées, fait preuve de résilience, atténuant les contre-performances des palmeraies traditionnelles durement touchées par la rareté des précipitations.
Sans pluies dans les prochaines semaines, la campagne agricole 2024-2025 compromise
La campagne agricole 2024/2025 risque d’être très mauvaise s’il ne pleut pas dans les prochaines semaines, indique Rachid Benali, président de la Confédération marocaine de l’agriculture et du développement rural. Le constat, pour le moins alarmant, vaut autant pour les céréales et les cultures printanières que pour l’arboriculture et l’élevage.
Crise de l’eau: une étude recommande un programme «d’équité hydrique régionale»
Dans une récente étude sur la situation hydrique au Maroc, le Centre africain des études stratégiques et de la digitalisation appelle à «prioriser l’équité hydrique entre les régions», en lançant un programme dédié, fondé sur des technologies intelligentes. Une revue de presse tirée du quotidien Al Ahdath Al Maghribia.
Région de l’Oriental: les travaux de construction du barrage Béni Azimane à 65%
Les travaux de construction du barrage Béni Azimane, situé à quelque 25 kilomètres au sud-ouest de Driouch, dans la région de l’Oriental, ont atteint un taux de réalisation de 65%. Ce projet, prévu dans le cadre du programme national 2020-2027 et piloté par des compétences marocaines, promet des retombées économiques et sociales considérables. Les détails.
Lait: un approvisionnement stable durant le ramadan malgré l’impact de la sécheresse
Le secteur laitier, fragilisé par sept années de sécheresse ayant réduit le cheptel et la productivité, fait face à de grands défis. Toutefois, grâce à l’intervention de l’État, rassure la profession au média Le360, l’approvisionnement du marché durant le Ramadan restera assuré.
Eau: Nizar Baraka veut bénéficier de l’expertise du Canada
Nizar Baraka, ministre de l’Equipement et de l’Eau, souhaite renforcer son partenariat avec le Canada dans le domaine de l’eau, dans le cadre de la stratégie initiée par le roi Mohammed VI.