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Le groupe Cosumar entame la nouvelle campagne agricole avec un programme de 50.000 hectares de plantes sucrières.

Le poids des dépenses de compensation des produits de première nécessité reste une charge significative pour l’État. Pour l’année 2025, le gouvernement prévoit de continuer à soutenir le gaz butane, le sucre, le blé tendre et la farine de blé tendre. Une revue de presse tirée du quotidien Les Inspirations Eco.

Cosumar a publié ses indicateurs trimestriels au 30 juin 2024. Malgré un contexte agricole difficile, le groupe a pu assurer un approvisionnement régulier du marché national en sucre grâce aux performances industrielles de la raffinerie de Casablanca. Détails.

La campagne betteravière 2023/2024 dans le périmètre de Doukkala s’est soldée par une production de 416.000 tonnes de betteraves sucrières, récoltées sur une superficie de 6.500 hectares. Le rendement moyen est de 64 tonnes par hectare, en amélioration de 8,5% par rapport à l’année précédente.

L’Afrique, riche en ressources naturelles, demeure confrontée à d’importants défis dans le secteur sucrier. Les dernières prévisions du département de l’agriculture des États-Unis (USDA) mettent en lumière les enjeux auxquels le continent doit faire face en matière de production, de consommation et d’échanges commerciaux dans le secteur.

À la 16e édition du Salon international de l’agriculture du Maroc (SIAM), le top management du groupe Cosumar a présenté son bilan annuel, et listé ses réalisations, dans un contexte où la filière sucrière se retrouve confrontée à plusieurs défis climatiques et géopolitiques majeurs. Une revue de presse de La Vie Éco.

Depuis sa création en 1929, Cosumar s’est imposé comme une référence incontournable dans la filière sucrière marocaine. RSE, durabilité, agrégation, développement du capital humain… le géant marocain ne cesse de mettre en œuvre des stratégies pour renforcer son leadership tout en respectant ses engagements environnementaux et sociaux. Les détails.

Le conseil d’administration de Cosumar s’est réuni le 15 mars 2024, sous la présidence de Hicham Belmrah, en vue d’examiner l’activité de l’exercice 2023, et a arrêté les comptes au 31 décembre 2023. Voici ce qui en ressort.

Malgré une conjoncture, notamment climatique, défavorable, la filière sucrière a fait montre d’une résilience à toute épreuve. Innovation et adaptation ressortent comme les clefs de la solution. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Economiste.