Les transports publics, à partir du dernier prolongement du boulevard Mohammed VI, à Casablanca, en direction de la banlieue de Mediouna, faite de quartiers populaires et de douars aux habitations informellement édifiées, ne sont quasiment assurés que par les «khettafas», des conducteurs de taxis clandestins, qui ont fait du pont Mohammed VI, construit sur un kilomètre, une station informelle destinée à attendre et à accueillir leurs potentiels clients. Une revue de presse d’Assabah.