Tous les articles correspondant à #Tebboune

Algérie: #Manish_radi, le hashtag qui exige la chute du régime militaire et l’avènement d’un État civil
Dans un geste sans précédent, mais qui exprime parfaitement l’état croissant de colère populaire en Algérie, des activistes algériens, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays, ont lancé le hashtag #Manish_radi, exigeant que l’armée se confine dans son rôle naturel de protection et de maintien de la sécurité aux frontières, et laisse la gestion des affaires du pays aux seuls civils. Ce hashtag, qui s’est rapidement répandu comme une trainée de poudre sur les réseaux sociaux, est une réaction à la détérioration croissante des conditions de vie des Algériens et à la mainmise de plus en plus étouffante de l’armée sur toutes les décisions politiques et économiques.
L’œil de Gueddar. Obsolescence programmée du régime d’Alger: le compte à rebours a commencé
L’œil de Gueddar. La junte persiste et signe, Boualem Sansal maintenu derrière les barreaux
Boualem Sansal: portrait d’un dissident algérien
Porté par un regard acéré et une plume audacieuse, Boualem Sansal incarne la dissidence littéraire dans une Algérie dominée par l’armée. Ce haut fonctionnaire, devenu sans le vouloir écrivain et témoin de son époque, déconstruit les mythes de la nation algérienne prisonnière de ses idéologies et d’un récit national instrumentalisé. Ses romans, empreints de douleur et de lucidité, tracent les contours d’une société en prise avec une dictature. Portrait.
L’œil de Gueddar. Plus que jamais, c’est l’armée qui a un pays en Algérie
Algérie: le chef d’état-major de l’armée s’incruste au sein du gouvernement
Le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, a procédé lundi 18 novembre à un remaniement ministériel, marqué par l’entrée du chef d’état-major de l’armée, le général Said Chengriha, au gouvernement en tant que ministre délégué auprès du ministre de la Défense. Ce poste n’est pas nouveau, puisqu’il avait été déjà créé sous le second mandat de Bouteflika en 2005, dans le cadre d’un partage du pouvoir entre la présidence algérienne et le commandement militaire. Sous Tebboune, la situation empire car ce sont les pouvoirs politique et économique qui sont en train d’être remis dans leur intégralité à l’armée.
«Ammi Tebboune», le nouveau titre de rap algérien qui dénonce la mafia au pouvoir et crie la souffrance de la jeunesse
Le rappeur et animateur algérien Lotfi Double Kanon, figure du rap contestataire en son pays, vient littéralement de «casser Internet» avec un nouveau titre intitulé «Ammi Tebboune». Un rap sous forme de brûlot politique qui cumule, trois jours à peine après sa publication sur YouTube, près de deux millions de vues.
Algérie: «Tebboune 2» reprend les bavardages stériles de son premier mandat en y ajoutant une inquiétante frustration
Un mois après avoir été prolongé de cinq nouvelles années à El Mouradia, sans l’assentiment de 90% des électeurs algériens, Abdelmadjid Tebboune se rappelle au mauvais souvenir de ses compatriotes à travers un nouveau bavardage, diffusé samedi soir par la télévision publique algérienne. Frustré et traumatisé par les déconvenues aussi bien à l’international qu’à l’intérieur, il a occulté les graves problèmes que traverse actuellement l’Algérie, comme les ravages de la malaria dans le sud du pays, la chute vertigineuse de la monnaie locale par rapport aux devises étrangères et la hausse des prix des produits de première nécessité.
L’œil de Carlos. Quand Tebboune joue à double face
Dar Lkabranate. EP-125. Algérie: la junte prête à un bain de sang pour stopper les émeutes dans les stades
Au lendemain des émeutes du 21 septembre dernier dans le nouveau stade de Douera à Alger, lors du match opposant le Mouloudia d’Alger à l’US Monastir, le général Saïd Chengriha a convoqué son état-major pour une énième réunion de crise. Comme on s’y attendait, la junte au pouvoir ne se soucie aucunement de la violence utilisée par les autorités pour réprimer la foule, causant plusieurs morts et de nombreux blessés parmi les supporters. Au contraire, les caporaux réfléchissent déjà aux moyens de durcir la lutte contre les rassemblements, y compris dans les stades.