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Selon un rapport de la Commission européenne sur les perspectives agricoles de l’UE, le Maroc devrait rester son principal fournisseur en tomates fraîches d’ici 2035.

Au marché de gros d’Inezgane , les caisses de tomates s’empilent, témoins d’une abondance inattendue. La chaleur intense qui a frappé la région du Souss a boosté la production, entraînant une stabilisation des prix dans les circuits de gros. Pourtant, cette stabilité ne se reflète pas dans les marchés de détail, où les prix restent inexplicablement élevés. Reportage.

Le prix des tomates varie significativement cette saison. Retard des récoltes, vagues de chaleur prolongées et maladies impactent la production, rendant toute projection difficile pour les opérateurs.

L’Europe de l’Est est un gros marché, avec environ 111 millions de consommateurs. La région enregistre une forte croissance économique, qui dépasse même celle des marchés avancés de l’Union européenne. Pour l’heure, le potentiel est loin d’être exploité. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Economiste.

Les positions affichées par les principales chancelleries européennes montrent une prise de distance nette avec la décision de la Cour européenne de justice quant aux accords de pêche et agricoles Maroc-UE. Pour quel impact? Cet article est une revue de presse tirée de Jeune Afrique.

Convoquée par la Brigade, Miss Tomato est en colère. Reine déchue du potager, elle assiste impuissante à la dégringolade de ses prix. Et personne ne semble lui accorder l’attention qu’elle pense mériter. Elle, qui était l’étoile des étals, la vedette des salades et la diva des sauces, voit maintenant son trône ébranlé par des prétendants moins nobles. Alors, vexée, elle boude dans son coin, attendant enfin qu’on lui rende l’honneur perdu. Un peu de reconnaissance, voyons!

En deux décennies, les exportations marocaines de tomates vers le marché britannique ont connu une hausse vertigineuse, passant de 87 tonnes en 2004 à plus de 125.000 tonnes en 2023. Avec une part de marché de 34%, elles se placent en deuxième position, juste derrière les exportations néerlandaises et loin devant les expéditions espagnoles.

La tomate marocaine est considérée par les producteurs espagnols comme l’une des principales menaces pour leur activité. Et ce, au même titre que d’autres aléas qui guettent la filière, notamment le changement climatique, le virus Rugoso ou la maîtrise des circuits de distribution.

Dans la région de Doukkala, les agriculteurs sont contraints de détruire une partie de leur récolte à cause de la baisse de la demande. Une revue de presse tirée du quotidien Assabah.