La récente sortie du président de l’Association marocaine des droits humains (AMDH), Aziz Ghali, dans laquelle il exprime ouvertement son opposition à la marocanité du Sahara, relève d’une position politique sans lien avec la défense des droits de l’Homme. Il apparaît désormais évident que l’AMDH s’est transformée en association politique qui, en tant que telle, pourrait risquer la dissolution pour violations répétées de la Constitution marocaine et atteinte à l’intégrité territoriale du Royaume. Les détails dans cette revue de presse tirée du quotidien Al Akhbar.