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Depuis quelques semaines, une pression inflationniste s’est emparée du marché des viandes rouges, dont le kilo atteint actuellement des niveaux record. Comment en est-on arrivé là? Une revue de presse d’Al Akhbar.

Les abattoirs ont repris leurs activités trois semaines après l’Aïd Al-Adha, mais les prix de la viande rouge ne cessent de grimper. Cette tendance haussière va se poursuivre avec l’arrivée des MRE et l’approche de la saison des mariages. Cet article est une revue de presse d’Al Akhbar.

D’après des chiffres publiés par le Haut-Commissariat au plan (HCP), la quantité des viandes issues du sacrifice de Aïd Al-Adha représente plus de 40% de la consommation annuelle des ménages marocains en viandes rouges, et près de 30% de leur dépense globale dédiée à la consommation de viandes.

Pour endiguer la hausse des prix sur les viandes rouges, le gouvernement a instauré une série de mesures: une subvention permanente des aliments pour le bétail, la suppression des droits d’importation et une modernisation progressive des structures d’abattage et des filières de distribution. Une revue de presse d’Al Akhbar et d’Al Ahdath Al Maghribia.

Devant les députés de la première Chambre du Parlement, le ministre de l’Agriculture a tenté d’apporter des réponses sur les prix actuellement excessifs de la viande rouge sur les marchés, mais sans vraiment réussir à les convaincre. Selon Mohammed Sadiki, la faute en incombe à la récurrence des épisodes de sécheresse, au cours des années précédentes. Une revue de presse de L’Économiste.

L’augmentation des prix du fourrage, due aux épisodes successifs de la sécheresse de ces dernières années, a entraîné une hausse des prix de vente de la viande rouge dans plusieurs villes. Agadir n’y échappe pas.

Le nouvel abattoir régional de Rabat, Salé, Skhirat et Témara a été inauguré, ce mardi, à la commune de Bouknadel par le ministre de l’Agriculture. Cette nouvelle infrastructure, située sur une superficie de 4 hectares, dont 15.000 m² couverts, a coûté 267 millions de dirhams et est dotée d’une capacité opérationnelle estimée à 30.000 tonnes par an.

Ramadan ou pas, les marchés algériens continuent d’être achalandés en viande asine et mulassière, à la faveur d’une étrange décision du ministère du Commerce algérien remontant à 2019. Celle-ci inclut ce type de viande dans sa liste de marchandises autorisées à l’importation.

En ce début de mois sacré, l’augmentation du prix de la viande rouge suscite la colère des consommateurs. Éleveurs comme producteurs pointent du doigt la chaîne de distribution, notamment les bouchers. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Les Inspirations Eco.